1. L'étudiante (2)


    Datte: 06/05/2021, Catégories: fh, hplusag, jeunes, profélève, école, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme facial, Oral fsodo, Humour occasion, f+prof, Auteur: Maldoror, Source: Revebebe

    ... par les cheveux pour en faire une queue de cheval et, assurant mon emprise en agrippant une épaule, poursuivis l’exploration de son anus.
    
    Une fois au plus profond de ses entrailles, je débutai par de petits va-et-vient pour dilater l’orifice qui finit par me sourire. Je pus alors y entrer à ma guise en donnant cette fois un mouvement de balancier saccadé. Je cassai le cul de cette petite salope et elle aimait ça. Ses plaintes s’étaient subitement changées en gémissements entre lesquels je percevais les claquements de mes abdominaux contre ses fesses. La chevauchée était grandiose, intense. Marion était une pouliche de première classe et je la déchirais sans tabou, son crin dans ma main. J’y allai de quelques claques sur les fesses pour mieux exciter cette chienne qui subissait avec amour cette sodomie improvisée.
    
    Lorsque je sentis que le moment était venu, je me retirai alors subitement et, sa tignasse au creux de ma paume, la fis s’agenouiller pour décharger dans sa bouche tout ce que je possédais de foutre en réserve. Cinq jets qui tapissèrent son palais et sa langue sans que cette petite pute n’en perde une seule goutte. Sa langue offerte était gorgée de sperme et je contemplai la semence dégouliner sur ses lèvres comme une œuvre d’art. Marion ferma la bouche en souriant, gonfla les joues, et déglutit. Elle semblait apprécier.
    
    Épuisée, les jambes tremblantes, elle finit par se relever en s’aidant de ma main, et m’embrassa à pleine bouche. Sa langue épousait ...
    ... maintenant la mienne pour déposer sur mes papilles le goût âcre du sperme. Je distinguai nettement couler dans ma gorge la semence que la petite garce avait gardée en bouche. Et curieusement, j’adorais ça, je trouvais même cette audace particulièrement excitante. Ce baiser savoureux témoignait de la sincérité de notre échange. J’avais inondé son palais et elle tentait de me faire partager ce qu’elle avait ressenti à ce moment.
    
    Je pelotai encore ses fesses durant l’étreinte, lorsque les néons de la salle s’activèrent, illuminant la réserve d’une lueur blanchâtre. Des voix. Celle du conservateur et des bruits de pas. Impossible de réagir, il était trop tard. Une quinzaine de paires d’yeux nous fixaient maintenant Marion et moi, enlacés dans un baiser de foutre dégoulinant sur nos lèvres. Elle le string sur les cuisses et moi, la queue à l’air, agrippé à son cul.
    
    La voix fut subitement coupée dans sa présentation de l’établissement, comme fauchée par la mort.
    
    En face de nous, une classe entière de lycéens en visite, accompagnés du conservateur, du recteur d’académie et d’un conseiller régional.
    
    Passée la surprise, Marion éclata d’un rire coupable et ne se démonta pas. Elle se pencha vers l’avant et prit de nouveau ma queue dans sa bouche sous les quolibets des lycéens surexcités. C’était donc ça, la fac ! Une façade au lustre éclatant qui dégénérait en partouze monumentale en coulisse…
    
    Sachant que j’étais foutu, je décidai de profiter de ce moment de plénitude. Alors je ...
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