1. L'étudiante (2)


    Datte: 06/05/2021, Catégories: fh, hplusag, jeunes, profélève, école, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme facial, Oral fsodo, Humour occasion, f+prof, Auteur: Maldoror, Source: Revebebe

    Ce jour-là, j’avais rendez-vous avec l’une de mes étudiantes. J’étais un jeune professeur universitaire et cette situation était pour moi inédite. C’était en effet la première fois que j’accompagnais une élève dans la préparation de son mémoire. Elle était en troisième cycle et comptait se lancer dans un travail approfondi de recherche universitaire, si toutefois je jugeais qu’elle en avait les capacités, m’avait-elle avoué.
    
    Nous étions au mois de septembre et la rentrée avait eu lieu quinze jours auparavant. Nous devions discuter du sujet de mémoire, il restait en effet à éclaircir quelques points qui lui serviraient d’aiguillage, notamment la délimitation temporelle. Pour un travail historique, c’était fondamental.
    
    Nous avions convenu d’un point de rencontre à la bibliothèque universitaire, le samedi matin. D’ordinaire, le fonds Moyen Âge n’était pas ouvert, mais je connaissais bien l’un des deux responsables de cette section qui avait gentiment accepté de me confier les clés, y compris celles de la réserve. La seule condition qu’il avait posée tenait à notre discrétion. Il n’avait théoriquement pas le droit d’agir de la sorte et ne souhaitait pas que ce genre de privilège parvienne aux oreilles du doyen de la faculté.
    
    J’arrivai sur le campus avec un peu de retard. Je garai ma voiture parmi celles des étudiants qui, sérieux, souhaitaient réussir leurs examens et bûchaient comme des damnés. Je quittai enfin le parking en hâtant le pas, chassant ma veste d’un ...
    ... revers de main. Je portais une chemise rose déboutonnée au col et un costume noir très seyant. Il me fallait être honnête, je savais combien les relations entre élève et professeur reposaient sur le charisme et la séduction. Et de ce côté, force était de reconnaître que j’avais un certain succès auprès de la gent féminine. Je m’étais tapé quantité d’étudiantes lorsque je préparais ma thèse de doctorat. J’assurais alors quelques travaux dirigés, une position confortable qui m’avait toutefois affublé d’une réputation dans mon ancienne faculté, avant d’être nommé ici en tant que professeur. Je me souvenais d’une aventure dans un ascenseur qui avait fait grand bruit au sein de l’université. L’affaire était remontée jusqu’au président qui m’avait convoqué pour me passer une sacrée soufflante. Il faut dire que la fille m’avait possédé comme jamais, balançant devant ma classe entière ce qui s’était réellement passé, une pipe hallucinante avant d’entrer en cours. Le mien. Tout ça s’était passé dans l’ascenseur qui nous acheminait vers la salle… (NDA : voir « L’étudiante », n°11584).
    
    Depuis ce temps, je m’étais arrangé pour fauter le moins possible, sans grande réussite. Si bien que ce qui m’avait fait conserver mon poste jusqu’à la soutenance de ma thèse reposait sur le secret de mes relations sexuelles. Car il s’agissait bien de cela, et uniquement de cela. Je n’avais jamais rencontré l’amour et mes contacts avec les femmes s’étaient régulièrement résumés à des aventures ...
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