1. L'étudiante (2)


    Datte: 06/05/2021, Catégories: fh, hplusag, jeunes, profélève, école, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme facial, Oral fsodo, Humour occasion, f+prof, Auteur: Maldoror, Source: Revebebe

    ... un bon 85 B, la mensuration idéale pour moi. Mais sa poitrine n’était pas le seul fruit qui me faisait maintenant envie. Sa peau dégageait un parfum époustouflant,Jardins de Bagatelle de Guerlain. J’avais toujours adoré, sans que j’en connaisse la cause.
    
    Je décidai alors de regagner mes esprits en allant puiser dans la réserve. Il nous fallait un ouvrage bibliographique pour l’aider dans ses travaux. Je m’emparai alors des clés et poussai la porte qui menait dans cette salle aux trésors pour tout chercheur qui se respecte. J’avais invité Marion à venir avec moi, afin de lui faire visiter ce temple sacré, le cœur de la bibliothèque. Au premier abord, l’endroit se résumait à une vaste salle pleine d’étagères et de rayons parfaitement alignés, rien de plus. Les casiers métalliques devaient contenir au bas mot un millier de bouquins, la plupart rédigés en latin. Une collection dont la faculté n’était pas peu fière.
    
    Nous nous dirigeâmes lentement dans la première allée, côte à côte, elle jetant des regards émerveillés sur les reliures et les dos des incunables. Elle caressait parfois leur couverture, m’avouant à demi-mot qu’elle avait toujours trouvé cela très sensuel. Nous avancions ainsi, elle un papier dans la main sur lequel était inscrite la cote de l’ouvrage, lorsque mon téléphone portable retentit. Je priai alors ma jeune disciple de m’excuser et quittai la réserve pour rejoindre la salle principale. À l’autre bout du fil, le responsable de la section qui me ...
    ... demandait si tout se passait bien. C’est du moins ce que j’imaginais étant donnée la faiblesse du réseau qui rendait toute conversation impossible. Je ne distinguais que des bribes de mots, des syllabes incohérentes qui me poussèrent à mettre un terme à notre tentative de conversation et couper mon portable pour rejoindre l’étudiante.
    
    L’allée dans laquelle nous nous tenions tout à l’heure était nue. Seuls les effluves de son aura délicate m’indiquaient la voie que Marion avait empruntée. Me laissant guider par ce doux parfum, je ne tardai pas à la retrouver dans la huitième allée. À l’évidence, l’étudiante ne m’avait pas entendu approcher, si bien qu’elle m’offrait maintenant une vue plongeante sur son joli petit cul. À la recherche d’un livre situé au deuxième rayon en bas, elle était penchée vers l’avant, les jambes légèrement pliées et les mains posées sur un ouvrage. Elle était en train d’en lire la référence. Et dans cette posture, sa jupe était suffisamment relevée sur ses cuisses pour que je devine la naissance de ses fesses. Je pouvais ainsi apercevoir un string de dentelle blanche s’insinuer dans sa raie. Ce fut là que je réalisai que je bandais depuis un bon quart d’heure. Je sentais ma queue battre à l’intérieur de mon pantalon, cherchant à se libérer de sa cellule de tissu.
    
    Cette pose aguicheuse où j’étais devenu voyeur malgré moi eut aussitôt raison de mes instincts les plus vils. D’un geste souple, je glissai ma main sous sa minijupe pour caresser l’étoffe qui ...
«1234...»