1. L'étudiante (2)


    Datte: 06/05/2021, Catégories: fh, hplusag, jeunes, profélève, école, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme facial, Oral fsodo, Humour occasion, f+prof, Auteur: Maldoror, Source: Revebebe

    ... débridées.
    
    J’ignorais pourquoi je pensais à cet épisode de ma vie à cet instant précis. Peut-être redoutais-je après tout cette rencontre ? Marion, la jeune fille avec qui j’avais rendez-vous, m’avait toujours paru ambiguë dans son approche. À chacun de mes cours qui ne comptaient jamais plus d’une quinzaine d’étudiants, elle arborait des tenues affriolantes qui excitaient les sens. Et je ne faisais pas exception à cette règle.
    
    Une fois encore, j’avais tapé dans le mille. Marion m’attendait à l’extérieur du bâtiment, juste en face de l’entrée. Affublée d’une minijupe violette et d’un top blanc qui moulait sa poitrine à la perfection pour signifier l’absence de soutien-gorge, elle était très provocante. Ses longues jambes paraissaient démesurées avec les mi-bas fumés qui épousaient ses mollets pour remonter aux genoux. Marion était une superbe jeune femme qui n’avait pas besoin de ce genre d’artifices pour se mettre en valeur.
    
    Gâtée par la nature, elle possédait un visage d’ange qui la rendait toutefois plus excitante lorsqu’elle portait ce type de parure. Les lèvres fines, le nez mutin et de larges yeux clairs sur une peau laiteuse, elle me rappelait la beauté des femmes slaves. Sa longue chevelure de miel dans laquelle perlait une longue tresse glissait sur ses épaules pour longer sa colonne vertébrale et caresser ses reins. Juste au-dessous enfin, des fesses rondes au galbe indécent. Jamais je n’avais vu un cul si bien dessiné, et je devais admettre l’avoir déjà ...
    ... furtivement admiré plusieurs fois aux intercours lorsque la possibilité m’en avait été offerte.
    
    À ma vue, elle s’empressa de jeter sa cigarette et s’approcha de moi en me tendant sa main sertie de bagues, un large sourire aux lèvres. Je la serrai chaleureusement et après les convenances d’usage, nous grimpâmes au troisième étage. Arrivée devant la porte du fonds Moyen Âge, j’introduisis la clé dans la serrure, ouvris pour laisser entrer Marion la première, et refermai derrière nous en fourrant la clé dans ma poche. La salle était petite et austère, tapissée d’un carrelage douteux. Les étagères croulaient sous les livres anciens qui sentaient la poussière et une vingtaine de tables offraient aux étudiants la possibilité de travailler dans un silence studieux. J’invitai alors Marion à prendre place pendant que j’allai tirer l’un des rideaux opaques pour chasser l’obscurité étouffante. En ce beau jour ensoleillé, la lumière naturelle serait suffisante pour illuminer la pièce. J’en profitai également pour faire coulisser le lourd battant de la fenêtre, histoire d’aérer la salle qui respirait le renfermé.
    
    Puis très vite, je m’assis aux côtés de Marion qui venait de déballer ses affaires d’un petit sac à dos en cuir violet. Elle commença à m’exposer le fruit de ses recherches bibliographiques avant de me laisser prendre la parole. Installé à sa droite, je ne pouvais m’empêcher de remarquer le tissu tendu à l’extrême au niveau des seins. En expert, je me surpris à les estimer, ...
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