1. L'enfoutreur (1)


    Datte: 04/05/2021, Catégories: Hétéro Auteur: yannlakeu, Source: Xstory

    ... hygiène préalable... Si tu veux... je reviendrais et...
    
    — Je veux bien que tu reviennes, Hola oui ! Mais pour me sodomiser.... nous verrons.
    
    — Bien ma belle, bien...
    
    Et je m’allonge à côté d’elle, en chien de fusil, blotti, mon sexe contre sa croupe et nous nous endormons ainsi. Ainsi passa la nuit.
    
    Le lendemain matin, elle me réveilla en passant délicatement ses doigts sur mon torse, en chatouillant mes tétons. J’émergeai avec une gaule solidement tendue.. sous les draps. Je découvris le monstre.
    
    — Suce-moi !
    
    Elle se mit alors à me pomper le dard et à me lécher les couilles avec une maîtrise à laquelle je ne m’attendais pas.
    
    Puis, sans que je lui demande, elle vint s’allonger sur moi et vint s’empaler sur mon sexe pour glisser sur la colonne avec fougue. Mes mains pétrissaient ses seins. Elle était libre, belle, ressuscitée. Elle se donnait à moi sans calcul, autant pour son propre plaisir que pour le mien. Nous expérimentâmes toutes les positions possibles et imaginables. Je l’emmenai sur des terrains où son mari ne l’avait jamais conduite, je lui enseignai à faire du bien à un homme, sous-entendant par là qu’après elle pourrait tenter d’autres expériences et même trouver un mec avec qui refaire sa vie.
    
    Nous essayâmes de multiples positions, assis, debout, allongés, sur le côté.
    
    — Tu m’as fait jouir trois fois hier soir, trois fois ce matin... Comment tu fais, j’ai jamais vu ça de ma vie ?
    
    — C’est parce que tu me donnes envie de te faire ...
    ... jouir. J’aime tes gros seins, tes hanches, ta toison rousse, tes lèvres et leur mouvement sur mon sexe....
    
    Elle s’abandonna encore à mille caresses et, pour finir, je voulus à nouveau m’épancher entre ses seins, étant sûr qu’après la dose d’hier elle était définitivement revenue de sa première et légère prévention.
    
    Au moment, enfin, où j’allais jouir, elle passa ses mains derrière mon dos, pour m’attirer à elle. Appuyé sur une main, l’autre branlant mon vit, je basculai en avant. Elle s’empara de ma bite et la plongea dans sa bouche, tout en me maintenant fermement par une pression énergique sur les fesses. J’avais compris ce qu’elle voulait et ne fis rien pour me dégager ou la contrarier. Je laissai venir et éjaculai à gros bouillons jusque sur sa luette. L’afflux de sperme la surprit. Elle se dégagea pour ne pas faire une fausse route mais avala tout ce qu’elle voulut. Puis elle reprit mon nœud pour le lécher longuement avec délice réciproque.
    
    Je me levai après l’avoir embrassée à nouveau et sortis de la chambre.
    
    — Où vas-tu ?
    
    — Un petit creux, une petite soif.
    
    — Mais... tu n’y vas pas comme ça ?
    
    — Comment ça, comme ça ?
    
    — Tout nu... Si Gabriel te voit ?
    
    — Gaby... il m’a déjà vu à poil à la salle de sport... sans parler d’hier soir. Il est grand. Ça ne va pas le choquer.
    
    — Mais ton sexe est tout rouge... tout mouillé... il va comprendre.
    
    — Sauf à être sourd, je crois qu’il a compris depuis hier soir.
    
    — Gaby était dans la cuisine. Il eut quand ...
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