1. L'enfoutreur (1)


    Datte: 04/05/2021, Catégories: Hétéro Auteur: yannlakeu, Source: Xstory

    ... libère, me caressant les cheveux de plus en plus vite et de plus en plus fort. Puis elle me dit simplement : "Viens".
    
    Ce n’est pas un ordre ni une demande, c’est un vœu, un désir, presque une espérance, un rêve qu’elle craignait de voir s’évanouir.
    
    Je remonte lentement, lui balayant le corps, qui se tord lascivement, de ma langue agressive. Je prends du temps pour les seins tout en fouillant la chatte de mes doigts, et la godant en douceur. Je me glisse dans le cou, puis l’embrasse à pleine bouche. Ses mains se referment sur mon dos avec une force herculéenne, m’emprisonnant dans une étreinte dont je ne devrai sortir que lorsque je l’aurai satisfaite.
    
    Ma queue tape à l’entrée de l’orifice. J’appuie.
    
    — AH..AH...AH gémit-elle dans des sons courts et rapprochés presque inaudibles.
    
    J’ai passé mes mains sous ses bras pour saisir les épaules à revers dans le dos et m’appuyer sur elle pour la pénétrer.
    
    — Mon Dieu... c’est gros... c’est si gros... fais attention... Il y a si longtemps... et jamais.... jamais de cette taille.... fais attention.
    
    Elle mouille abondamment et la verge pénètre centimètre par centimètre et à chaque étape c’est le même petit cri, bref mais de plus en plus fort : Ah...Ah...Ah.
    
    Une fois le gland, et un peu plus, absorbé, je fais aller et venir le chibre à un rythme très lent, en m’appuyant cette fois-ci sur mes bras. Je peux voir ainsi son visage crispé par la douleur puis déformé par le plaisir, la bouche s’ouvrir peu à peu, à mesure ...
    ... que s’ouvre le vagin, et la langue sortir pour se pourlécher les lèvres que, parfois, les dents viennent mordiller.
    
    Je sens soudain que les digues lâchent et que je commence à pénétrer plus profond alors, sans crier gare, après avoir presque tout retiré, j’enfonce tout d’un coup.
    
    — AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH !
    
    Là, Gabriel doit entendre, ce n’est pas possible autrement. Je suis au fond et je suis bien. La chatte me serre confortablement.
    
    — Ne bouge plus ! Ordonne-t-elle.
    
    Je lui laisse l’initiative. Elle se met à bouger sans s’arrêter de chanter une espèce de mélopée orgasmique.
    
    Elle replie ses jambes sur mon dos et me serre si fort qu’elle en plante ses ongles dans mes chairs. La douleur m’excite. Je reprends le dessus et me mets à la démonter en règle. Plus elle progresse vers l’extase, plus elle parle et gémit :
    
    — C’est bon... ohhhh... Ouiiiii....Vas-y.... culbute-moi... y’a si longtemps que je t’attends.
    
    Je me mets en "point de 8", bras complètement tendus et accélère le rythme. Mes coups de queue sont rapides et violents et maîtrisés. Vaincue par la puissance du pilonnage, elle a laissé retomber ses bras sur le matelas et à chaque coup de bite elle laisse sortir le même : "Oh"!
    
    Comme je l’avais prévu, les gros lolos tanguent, roulent, valsent en cadence.
    
    — Une capote... mets une capote...
    
    — T’inquiète ma chérie, je vais pas te jouir dans la chatte...
    
    — Tu vas pas jouir ?
    
    — Si, et même beaucoup ma belle... mais entre tes seins...sur tes ...
«12...567...»