1. L'enfoutreur (1)


    Datte: 04/05/2021, Catégories: Hétéro Auteur: yannlakeu, Source: Xstory

    ... suis plus grand et je la plaque contre le meuble.
    
    Impossible qu’elle ne sente pas mon gros sac collé en bas de son dos. Je présente des excuses; elle se recoiffe machinalement, pour faire une geste, retrouver une contenance pour cacher son trouble... non, non ce n’est rien.. merci du coup de main. Elle est chaude. Ça va être du gâteau.
    
    Et puis c’est l’heure d’aller se coucher.
    
    Gabriel m’a dit que sa mère dort sans doute nue, au moins topless.
    
    J’attends un peu. Je frappe à la porte de la chambre. J’ai enlevé le T-shirt. Avant qu’elle ne réponde, j’entre.
    
    Elle est déjà au lit. Elle remonte le drap sur ses seins.
    
    — Vous avez besoin de quelque chose ? Dit-elle en essayant de dissimuler la rougeur qui lui monte au visage autant qu’elle essaie de cacher ses nichons.
    
    — Non, non, dis-je ne m’asseyant à côté d’elle, juste envie de vous.
    
    Elle me regarde l’air de ne pas comprendre. Je pense qu’elle attendait ma visite sans oser y croire. Je l’embrasse brièvement puis la regarde dans les yeux. Elle est toujours interdite. Je l’embrasse à nouveau, plus longuement, le temps qu’elle passe la main derrière mon cou. Puis elle se retira.
    
    — Non, non vas-t’en... non je peux pas !
    
    — Pourquoi ?
    
    — Gabriel, tu es son copain... pas avec le copain de mon fils;
    
    — Ecoute, ton fils, il me connaît. Il sait que j’aime les femmes, que je suis plus âgé que lui.. que tu es très belle que tu ne peux pas me laisser indifférent...
    
    Je l’embrasse à nouveau et caresse un ...
    ... sein. Elle commence à s’échauffer. Mais elle résiste encore.
    
    — Non, non il y a des années que je n’ai pas... je ne prends pas la pilule...
    
    — T’inquiète, j’vais y aller en douceur et j’ai tout ce qu’il faut dans la poche de mon survêt.
    
    — Gaby va nous entendre.
    
    — Tu parles, il a sûrement son casque fiché sur les oreilles pour regarder un film ou jouer en silence.
    
    Et, sans lui laisser le temps de répondre, je baisse les draps et prends un téton dans ma bouche pour le dévorer avidement, pendant qu’une main descend vers la chatte.
    
    En y repensant, c’est à partir de ce moment-là que je l’ai définitivement conquise.
    
    Elle est vaincue. Elle me caresse la tête les épaules.
    
    Je suis arrivé à la toison. Je glisse mon majeur entre les deux lèvres, puis un autre doigt pour les écarter et, enfin je me mets à pincer doucement l’abricot. Elle sursaute, écarte les jambes, s’allonge davantage.
    
    J’en profite donc pour descendre en couvrant son corps de baisers, en lui chatouillant le nombril avec la langue, puis, après m’être installé entre les cuisses grandes ouvertes, j’écarte les plis de la moule et commence à la bouffer lentement. Au mouvement de son bassin je ne peux que constater qu’elle apprécie. Elle se retient pour ne pas gémir trop fort mais ne peut réprimer quelques petits grognements parfaitement significatifs.
    
    Aussitôt, je découvre sa fougue. Elle était comme une pucelle plus impatiente que craintive et, au fur à mesure que ma langue lui ravine le con, elle se ...
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