1. LA CAMPEUSE


    Datte: 03/05/2021, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Poesexe, Source: Hds

    ... qui s’affairent sur son point G, et m’excitent, en même temps. Elle se met à couiner, et je grogne à l’unisson. Nos corps s’entrechoquent et se déchainent dans une quète de plaisir. Accroché à ses hanches pleines, je la défonce sans retenue. La jouissance monte peu à peu dans mes reins et un torrent dévastateur m’emporte. Plaqué contre elle je décharge tout mon plaisir, ma tension, dans son cul qui tremble et se crispe autour de moi. Après cet instant de bonheur, nous nous séparons enfin. La voisine aperçue un peu plus tôt est toujours nue sur sa paillasse, le visage masqué par des lunettes de soleil, et sa main s’agite entre ses jambes. En voilà une qui a profité de nos ébats. Nous allons nous rincer à la rivière
    
    Jeanie, tout en se trempant dans l’eau glacée qui hérisse sa peau de chair de poule me dévisage.
    
    - Tu es un pervers. You know, I’ve never been fucked in the ass, me dit elle. It hurts me
    
    - Oui, mais tu as aimé ça
    
    - Je ne croyais pas, je pouvais jouir autant.
    
    - Donc, tu le referas.
    
    - For sure. Each time you want.
    
    - Tu sais, je ne suis pas le seul. Et puis, je ne suis que de passage
    
    - Je suis là encore un mois. Tu peux revenir, et tu as vu Mary, ma voisine
    
    - La fille à poil
    
    - Non, elle n’a pas beaucoup de poil
    
    - Je voulais dire : naked
    
    - Oh yes ! Elle n’a pas d’homme et je suis sure qu’elle serait heureuse…
    
    - Hola ! je t’arrête. Elle est surement très chouette, mais pas pour moi.
    
    - Pourquoi ?
    
    - J’ai déjà assez avec ...
    ... toi.
    
    - Oui mais moi, ce n’est pas possible, repond elle
    
    - Tu as bien couché avec moi.
    
    - Oui parce que tu m’as conduit. Il fallait bien que je te remercie. C’était pour te faire plaisir.
    
    - Nous sortons et je récupère mes vêtements, un peu froissés, mais secs. Une fois habillé, je m’apprète à repartir. Refermes les portes du fourgon. Quand je me retourne, Jeany, se tient face à moi, et, à ses côtés, la brune Mary.
    
    - Steve, c’est Mary. Tu ne la trouves pas jolie.
    
    La jeune femme brune doit avoir dans les trente ans, ses cheveux de jais encadrent un visage aux traits fins, aux pommettes hautes avec des yeux bleus qui tranchent avec sa peau mate.. Jeanie, dégraffe son paréo et Mary se retrouve nue. La silhouette est longiligne avec des attaches fines, des seins plantés bien haut, pas trop gros, avec de larges aréoles et des tétons longs et durs, la taille est marquée, le ventre plat, imberbe, avec une fente qui va se perdre entre les jambes longues et musclées. Sur, c’est une beauté. Elle se tourne pour masquer sa nudité, et me dévoile un dos fin et cambré, terminé par deux fesses rondes. Je ramasse le paréo, et viens la couvrir avec.
    
    -Jeanie a raison, tu es une très jolie fille. Je dois partir, maintenant, mais nous nous reverrons peut-être, lui dis-je.
    
    Je dépose un baiser sur les lèvres de Jeanie, en caressant, au passage, un sein, pusi je me hate de monter en voiture et de démarrer. Dans mon rétroviseur, j’aperçois une dernière fois, Jeanie, et Mary, nues, avant ...
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