1. LA CAMPEUSE


    Datte: 03/05/2021, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Poesexe, Source: Hds

    ... déroule le capuchon caoutchouté. Aussitôt, elle m’enjambe dos à moi, et vient s’empaler sur mon vit déployé. D’une longue poussée, s’aidant des bras en s’appuyant sur le plafond de la camionette, elle m’enfonce en elle, jusqu’à ce que mon ventre vienne taper contre ses fesses. Elle commence alors à coulisser le long de mon chibre, en ondulant des reins, m’offrant le spectacle de ma queue, entrant et sortant de sa chatte écartelée dans un bruit mouillé. Après un moment, elle se dégage et se retourne, pour venir face à moi. Le buste droit, les seins tantôt balottant, tantôt prisonniers de mes mains avides, elle gémit en ondulant du bassin autour de mon sexe, ses yeux verts clair rivés dans les miens, les traits crispés, concentrée sur sa recherche de plaisir. Le rythme va crescendo, et ses cris également. S’aidant de la puissance de ses cuisses elle monte et descend sur moi avec la puissance d’un marteau pilon. Emporté par cette frénésie, je ne tarde pas à lâcher de longs jets de plaisir avec des grognement rauques qui viennent compléter les hurlements de Jeanie qui jouit à grands cris.
    
    Après quelques minutes de récupération, nous sortons de la voiture. Jeanie fait quelques pas, alors que je reste prudemment planqué derrière les portes arrières qui me servent de paravent. Je remarque les dégoulinures à l’intérieur de ses cuisses quand elle se tourne, et se met à faire signe de la main. Je risque un œil par dessus une porte et je découvre, à une cinquantaine de mêtres, une ...
    ... jeune femme, aussi nue que Jeanie, aussi brune que Jeanie est blonde, étendue nue sur une paillasse, offrant au soleil une peau aussi brune que celle de Jeanie est blanche. Pendant ce temps, Jeanie a filé jusqu’à la rivière. Je m’enroule dans le plaid pour la rejoindre.
    
    L’eau fraiche nous fait du bien et nous rince de nos ébats et de la transpiration qu’ils ont provoqué. Le seul inconvénient, c’est qu’avec le froid, ma virilité se ratatine comme un escargot dans sa coquille.
    
    - Viens vite au soleil, me dit elle en constatant l’effet du froid. Je la suis, et j’étends le plaid sur l’herbe, derrière le fourgon, à l’abri des regards. Elle vient s’allonger à mes côtés. Nous restons ainsi, quelques minutes, sans rien dire.
    
    - C’est si bon, dit elle, mais je dois faire attention, sinon bientôt, je serais tout rouge brûlée,
    
    C’est sur qu’avec sa peau de lait, elle doit craindre les coups de soleil. Elle se déplace et vient, à genoux entre mes jambes. Elle se penche et vient emboucher mon sexe ramolli. Je sens sa langue qui s’agite , et s’enroule en même temps qu’elle m’aspire . Ses mains caressent mes bourses. Je reprends de la vigueur sous ses caresses. Ses doigts s ‘égarent entre mes jambes , et elle vient titiller mon anus, avant d’y introduire un doigt, ce qui a pour effet de me faire rebander. Les lêvres serrées autour de mon mat, elle me pompe avidement, puis ressort et vient me lécher, depuis le gland, jusqu’à mes couilles, son index continuant à me perforer.
    
    Elle se ...
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