Je me tape toutes les filles de ma classe (3)
Datte: 01/05/2021,
Catégories:
Trash,
Auteur: malmsteenbatio25, Source: Xstory
... par la peine. Ses larmes étaient salées, et me firent l’impression d’avoir bu la tasse dans un océan de malheur. Ses joues, humidifiées par ma bave, je les essuyais avec piété du revers de ma main, comme un dévot du Christ caressant le Saint-Suaire.
" - J’ai dis TOUT le visage !... me gueula-t-elle aux oreilles. ’’
Je vis, de son nez aplati par la disgrâce, un petit filet de morve s’échapper, coulant, descendant le long de sa bouche comme un cours d’eau de son ruisseau. J’enfonçais alors le bout de ma langue dans sa narine droite pour en extraire la précieuse liqueur. Tel un Indiana Jones des temps modernes, je m’aventurais au fond de cette inépuisable mine afin d’en extraire cet or gluant que ma maîtresse me demandait de ramener. Eut état de mon visage défait par la honte et par la laideur de la mine d’extraction du pétrole verdâtre, j’avais davantage l’air d’un pauvre hère des Hauts-de-France terrassé par l’ardeur du travail au sein des Corons que d’un Conquistador espagnol fier de charger sur sa chaloupe des lingots d’or arrachés aux aztèques à la force de l’épée. Un haut-le-coeur me saisit. L’une de ces crottes de nez était plutôt dure; à son encolure trônait fièrement un caillot de sang coagulé - sans doute la petite avait-elle, en cette fin d’été, saigné du nez pour cause de trop forte chaleur - et ce fût ce caillot infâme qui faillit faire éclore de ma bouche asséchée une gerbe de fleurs multicolores et malodorantes. Par pudeur, je me retins, et avala l’arme du ...
... crime que j’aurais pu commettre et qui aurait pu me coûter un drap et des excuses plus plates que les seins de la femme de notre actuel président.
" - C’est bien !... Brave toutou !... Tu as tout nettoyé, et tout avalé !...
- Que puis-je encore faire pour vous, très chère maîtresse ?... lui abjurai-je d’un regard de chien battu. Il nous reste encore 50 minutes avant que je ne me libère de votre emprise....
- Mets-toi par terre, et ouvre la bouche !... ’’
J’obéis consciencieusement à ma dulcinée. Ne prenant même pas la peine d’ôter son jean, Mathilde se pissa dessus. Des deux côtés de ses jambes, le bleu argenté de son blue jean prenait une teinte foncée. Je réceptionnais dans ma bouche quelques gouttes au passage, mais l’essentiel de sa production de soda brûlant était répandu sur le sol.
" - Lèche le sol !... Jusqu’à la dernière goutte !... Et qu’il n’en reste plus une !... Tu rendra le sol sec en le frottant avec ton pantalon !... "
Je me mis à la tâche avec entrain. Je lapais le sol à grandes gorgées; sa pisse avait un goût acide et sucré à la fois. Cinq bonnes minutes plus tard, le sol était presque sec; je me mis donc à la tâche de le rendre sec en ôtant mon pantalon comme ma déesse laide me l’avait exigé, et d’essuyer le sol avec ma serpillière rica lewis à 45 euros. Une fois le sol sec et mon jean souillé par les résidus de pisse, Mathilde assit son cul trempé sur mon visage posé au sol.
Elle péta. Bruyamment. Cette odeur m’était insupportable. Je ...