Je me tape toutes les filles de ma classe (3)
Datte: 01/05/2021,
Catégories:
Trash,
Auteur: malmsteenbatio25, Source: Xstory
Mathilde restait face à la porte de ma chambre, honteuse et tremblotante, comme si la raison pour laquelle cette attardée de 21 ans était venue me voir se passait de commentaires. Je voyais dans ses yeux bleus aussi clair que l’azur que ma promise n’était pas venue chercher à s’incruster dans mon humble logis pour réviser la table du 9, mais plutôt celle - moins honorable mais davantage réservée aux jeune filles de son âge - du 69.
Toujours en première année de BTS à 21 ans, Mathilde puait la honte d’être une incapable, la frustration de ne pouvoir obtenir le moindre diplôme et, comme si cela ne suffisait pas, elle était trop laide pour sucer le moindre professeur en vue d’augmenter péniblement sa moyenne catastrophique.
Figurez-vous un gnome difforme d’un mètre cinquante, la tête en forme de pastèque ( grosse et allongée ), les cheveux sales et gras revêtus d’un serre-tête bleu ou noir selon son humeur. Un front large et des dents de lapin encadraient ses lunettes, derrière lesquelles - Dieu ne peut décidément pas se fourvoyer sur tout - des yeux bleus clairs et magnifiques semblaient refléter le désespoir propre aux filles ayant conscience de leur propre laideur. Des seins de taille moyenne, en forme de poire, s’abritaient derrière un éternel débardeur Mickey maousse qu’elle avait sans doute emprunté à sa petite soeur, faute d’argent ( car non contente d’être idiote et hideuse, ma chérie était pauvre : pas de quoi partir du bon pied dans la vie, je vous l’accorde... ...
... ) ; sa culotte de cheval proéminente ne faisait qu’accentuer l’effet ’’ bouée de sauvetage ’’, laquelle n’a visiblement pas réussi à la tirer du naufrage Titanicesque que fût sa scolarité, au cours de laquelle ma petite putain s’est pris tant d’icebergs dans le cul de la part de chiens de la casse et autres pourceaux laids en chaleur qu’une bonne douche froide n’aurait pu que les faire fondre. Ses bras, plus proches du jambon entier d’Aoste que de l’asperge somalienne, étaient pétris de vergetures, comme si ma grosse truie favorite avait accouché par le coude d’un hypothétique quasimodo - à la différence près que n’est pas Esmeralda qui veut. En revanche, le Seigneur lui fît un cul formidable, source de compensation pour cette fille qui n’aurait même pas pu obtenir le 3ème prix de beauté dans un hameau de vieilles de 15 habitants sans ces deux fesses dont certaines de ses congénères du même sexe faisaient intérieurement des crises de jalousie. Deux énormes pastèques juteuses collées côte à côte rembourraient l’arrière de son jean. Un régal pour les yeux. Inutile de décrire ses jambes et ses pieds : d’une banalité affligeante, ces derniers ne collaient pas avec le reste de son corps, comme si un savant fou s’était amusé à couper en deux un thon et une fille normale avant de recoller les deux morceaux pour en faire une sorte de patate aux jambes d’allumettes.
Mathilde m’interrompit dans mes pensées vaguement salaces :
" - Dis-voir, Théophile, t’as pas un ou deux sucres ...