1. Je me tape toutes les filles de ma classe (3)


    Datte: 01/05/2021, Catégories: Trash, Auteur: malmsteenbatio25, Source: Xstory

    ... pour mettre dans mon café ? J’en ai plus dans ma chambre !... "
    
    Etonné qu’une fille pénètre dans ma chambre pour des broutilles de bas étage, je consentis à ouvrir la porte de mon placard pour en extirper la boîte de 200 unités.
    
    " - T’en veux un ?... Deux ? ... lui fis-je en la regardant droit dans les yeux, de mon air sûr de moi et dominateur qu’appréciaient tant les filles de mon âge.
    
    - Deux, s’il-te-plaît. Après, je ne t’embête plus, me lâcha-t-elle avec un petit sourire malicieux dont l’effet ne tarda pas à se faire sentir. "
    
    Je bandais. Elle savait que je bandais. Je savais qu’elle savait que je bandais. Elle savait que je savais qu’elle savait que je bandais.
    
    Ni gênée ni effarouchée par le ballon de chair qui ne cessait de gonfler dans mon slip kangourou, Mathilde, commença à se passer les doigts sur les lèvres. Ses petits tétons tous durs pointaient insolemment en ma direction, de sorte que je me sentais visé par ces deux ogives dignes des plus grandes heures de Verdun. Tenant un morceau de sucre dans ma main, je m’approchais d’elle lentement mais sûrement. Nous fûmes face à face, comme deux amants heureux. Je glissai le morceau de sucre dans son soutien-gorge. Mes mains tremblantes effleuraient ses seins, avant de les caresser, puis de les étreindre amoureusement avec la même vigueur qu’un crève-la-faim empoignerait avec ferveur la première miche de pain qu’il aurait reçu tombé du ciel. Lentement, je fis glisser le sucre sur son dos. Avec mon autre ...
    ... main, j’essuyais les perles de bave qui coulaient de sa bouche onctueuse avant de m’en servir pour humidifier le petit morceau de sucre alors posé sur son dos. C’est alors que je cassa volontairement le sucre sur son dos, le cadavre du carré de sucre baveux réduit à l’état de poudre et de grumeaux s’étalant dans son débardeur sale.
    
    " - Tu as pourtant l’habitude qu’on te casse du sucre sur le dos, ma petite Mathilde, alors ne te plains pas... ’’
    
    Mathilde me gifla. Elle s’assit sur mon lit, et se mit à pleurer. Je mis mon bras autour de ses épaules, et lui fis un câlin afin de la réconforter.
    
    " - Tu sais... snif... bégaya-t-elle entre deux secousses de larmes... C’est pas facile d’être laide...
    
    - Je n’en pense pas moins, tu sais... lui rétorquai-je.
    
    - Pour toi qui es beau, musclé, bien foutu, bien habillé, ça doit être tellement plus facile d’être aimé...
    
    - C’est vrai. Toutes les filles sont à mes pieds, lui fis-je avec un petit sourire en coin. Pour me faire pardonner, je vais faire tout ce que tu voudras pendant une heure. Tout. Sans exception.
    
    - C’est vrai ?... me lança-t-elle, les yeux écarquillés, pétris de bonheur.
    
    - Oui. Mais juste une heure, hein, pas plus.
    
    - Ok. Lèche mon visage, et avale mes larmes !... On verra si tu es un mec bien ou juste un de ces menteurs qui te promettent la lune et ne tiennent jamais leurs promesses !... "
    
    De ma langue agile et râpeuse, je me délectais de la quinzaine de larmes qui perlaient le long de son visage rougi ...
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