1. Domination dans l'avion


    Datte: 01/05/2021, Catégories: avion, hsoumis, fdomine, pied, chaussures, Oral coprolalie, hsodo, gifle, init, Auteur: Jochua, Source: Revebebe

    ... pour le pourboire ». Je ne comprenais rien à ce qui m’arrivait, j’aurais dû être scandalisé et au lieu de ça je sentis mon pénis se raidir dans mon pantalon. Elle vit la bosse qui s’était formée et eut une sorte de sourire narquois difficilement interprétable, entre la satisfaction et la moquerie. Elle continua sa course sans rien dire, me laissant complètement bouleversé. Je me sentais comme une merde et ça m’excitait. Bordel. Il y avait une femme à côté de moi qui me dévisagea, l’air de dire « T’es vraiment unloser de te laisser faire comme ça. » Elle aussi arborait un sourire plein de jugement qui m’énervait et me rendait fou à la fois.
    
    Les minutes passèrent puis les heures. Je commençai à m’endormir tout doucement, bercé par le bruit des réacteurs de l’avion et par la lumière faiblissante. Quand vint le moment du dîner. Les hôtesses s’étaient remises en mouvement pour distribuer des dosettes de bouffe décongelée et immonde si l’on n’est pas affamé. J’attendais avec une relative impatience ma part, me disant qu’ensuite j’aurais tout le loisir de dormir tranquille réduisant ainsi la durée réelle de mon voyage de sept heures. Je regardai derrière moi et vis celle qui m’avait humilié servir une autre rangée. J’étais à la fois soulagé et déçu. Une autre femme vint me servir. Elle tendit le plateau vers moi, s’approcha et me chuchota à l’oreille :
    
    — Tiens, loser, voilà ton repas, il paraît que ça t’excite d’être un soumis alors tu vas manger ce qu’on te sert sans te ...
    ... plaindre, d’accord ?
    
    J’étais tétanisé, ne m’attendant pas le moins du monde à ce qu’une de ses collègues soit au courant. Je ne savais plus où me mettre. De nouveau, je pensai à me plaindre mais je m’entendis répondre :
    
    — Oui bien sûr… d’accord.
    — Oui qui ?
    
    Instinctivement je sus ce que je devais répondre :
    
    — Oui, Mademoiselle.
    — C’est bien, lopette, mange ton repas et ferme-la, maintenant !
    
    Elle s’éloigna en poussant de petits rires moqueurs. J’étais en plein émoi, je compris enfin à quel point la situation m’excitait, à quel point elles savaient mieux que moi ce que je voulais et je décidai de me laisser aller, de voir où tout ça allait bien pouvoir me mener. Après tout, je partais un an à l’aventure et le but était de faire des expériences. Je sentais une excitation unique et il n’était pas question de saboter la chose.
    
    À côté de moi, les passagers avaient reçu du chaud, du poulet avec quelques légumes, et un petit dessert en prime. En soulevant la cloche de mon repas, je découvris une tranche de pain sec, un verre d’eau et une feuille de salade. En dessous de l’assiette se trouvait un petit mot. Je pris le papier et me mis à lire frénétiquement :
    
    Je restai là un petit moment, digérant l’information. Je réfléchis quelques minutes avant de me rendre compte que ma décision était déjà prise depuis le début, toute réticence n’étant là que pour la forme. Je me levai le Bic en main et sans réfléchir, je m’engouffrai dans les toilettes desquelles je ressortis ...
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