1. Domination dans l'avion


    Datte: 01/05/2021, Catégories: avion, hsoumis, fdomine, pied, chaussures, Oral coprolalie, hsodo, gifle, init, Auteur: Jochua, Source: Revebebe

    ... finis par retirer complètement la chemise. J’attendais, paralysé, la suite des événements, me demandant comment j’avais réussi à me retrouver dans cette situation.« T’es quand même le champion pour te retrouver dans des situations inextricables, ça commence fort ! » Je la vis prendre quelque chose dans sa poche d’où elle sortit un feutre qu’elle ouvrit en s’abaissant vers moi. Elle écrivit sur mon torse quelque chose qu’elle me murmura à mesure qu’elle me marquait comme un bœuf :
    
    Je sentis une boule de honte me tirailler l’estomac mais mon pénis forçait l’entrée pour sortir. J’étais en transe. Putain, mais qu’est-ce qu’il m’arrive ? C’est mieux qu’une drogue.
    
    Elle se redressa et me fit signe de la suivre. Je la regardai, estomaqué. J’allais quand même pas passer dans les allées avec un aveu de loser écrit sur mon torse. Elle me regarda avec un air de défi… Ben si. Je me mis en mouvement pour me relever mais je sentis son talon écraser mon épaule.« Merde, elle veut que je marche à quatre pattes. Je suis pas dans la merde. » Ne réfléchissant même plus aux conséquences de mes actes, de ce que je risquais ou de ce que je devrais faire pour arrêter ça, je me vis marcher comme un chien, sentant la laisse fictive de ma maîtresse-hôtesse qui tirait devant moi. J’avais complètement abdiqué, j’étais dans un état de totale soumission, je ne me sentais plus responsable de moi-même, j’étais devenu en quelques heures un esclave et c’était la meilleure sensation que j’aie jamais ...
    ... ressentie.
    
    J’avais les boules que quelqu’un me voie, je priai pour que tout le monde dorme et que personne ne me voie. Ce chemin à quatre pattes jusqu’à la petite zone réservée aux hôtesses et cachée d’un simple rideau fut le plus long de ma vie. Je regardais fébrilement à chaque rangée pour m’assurer que tout le monde dormait. On était presque arrivés, plus que quelques sièges et c’était bon. Mais à l’avant-dernière rangée, une jeune femme était réveillée, sa petite lumière personnelle allumée, elle lisait un bouquin. Elle leva les yeux pour voir la scène qui s’offrait à elle. Sur le coup, même mon hôtesse eut un petit haut-le-cœur se disant sûrement que si la passagère criait au scandale, elle aussi aurait pu se retrouver sacrément dans la merde. Au lieu de ça elle lâcha juste un :
    
    — Putain, j’hallucine…
    — Il aime ça, chuchota-t-elle avec un petit sourire, pourquoi se priver ?
    
    La jeune femme me regarda brièvement, n’en revenant toujours pas de la vision dont elle était témoin.
    
    — Je vois ça, répondit-elle doucement avec un petit sourire vicieux. Bon amusement, faudra que j’essaie un jour, ça a l’air excitant.
    — C’est la première fois que j’essaie vraiment et c’est un sentiment unique, chuchota-t-elle, vraiment il faut essayer.
    — J’y penserai, merci.
    
    Nous arrivâmes enfin dans le petit espace réservé au personnel. Ma maîtresse éclair referma les rideaux derrière moi et je l’entendis dire :
    
    — Regarde ce que je t’ai ramené comme jouet.
    
    « Merde on n’est pas ...
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