1. Le soir où ma soeur m'a réservé une surprise (1)


    Datte: 01/05/2021, Catégories: Hétéro Auteur: doumeg170, Source: Xstory

    ... chez une fille sexy, ils le sont toujours.
    
    Je me demandai pourquoi Georges ne l’avait jamais remarqué.
    
    Marc tira sa tunique par-dessus sa tête. Je fus surprise de voir qu’il ne bandait pas. Il se mit sur les genoux et m’attira vers lui.
    
    — Ouvre tes jambes me dit-il, je vais t’embrasser à fond.
    
    J’eus un petit frisson de délice et me mis debout devant lui, les jambes bien écartées. Il leva la tête. Ses longs cheveux chatouillèrent la peau de l’intérieur de mes cuisses. Ses doigts écartèrent mes lèvres extérieures et brusquement, sa langue fut là, me lapant avec douceur.
    
    Ma tête se renversa en arrière pendant que je jouissais de cette sensation merveilleuse. Je n’avais jamais rien ressenti de tel.
    
    Sa langue pénétra plus avant, s’enroula autour de mon clitoris. C’en était trop. Mon cœur battait quelque part dans ma tête et je me sentis soulevée, vague après vague, par un orgasme qui semblait ne jamais devoir prendre fin.
    
    Finalement, je fus à la crête de la plus grosse lame et son volume était tel que je fus heureuse de retomber dans le creux.
    
    Je n’avais jamais éprouvé une telle satisfaction. C’était presque magique. Des spots multicolores brillaient sur nos corps en sueur et rehaussaient la magnificence primitive et animale de la scène.
    
    Mes jambes faiblirent et je me laissai choir à côté de Marc. Je jetai un coup d’œil vers Hélène et Georges. Leurs corps étaient mêlés comme deux cordes nouées, ils ondulaient et roulaient sur les coussins ...
    ... moelleux.
    
    Ce n’était pas mon Georges. Ce ne pouvait pas être lui. L’homme qui se tournait de l’autre côté en disant qu’il avait eu une rude journée au bureau quand j’esquissais une invitation amoureuse ?
    
    Marc se coucha sur le dos. Je l’embrassai goulûment sur la bouche, poussant avec force ma langue entre ses dents. Je goûtais ma propre salive, je sentais la frénésie sexuelle me dévorer.
    
    Il bandait maintenant. Sa verge émergeait des poils comme un chêne de la mousse. Je me courbai pour l’embrasser, le couvrant de longs baisers humides, enveloppant la fière tête de caresses sans fin.
    
    Ma main glissait avec facilité tout le long du superbe organe tandis que je léchais tendrement ses testicules durs et fermes. Je les prenais avec douceur dans mon autre main, les caressant comme des fruits.
    
    Il m’attrapa par les épaules et m’étendit sur le dos. Cette fois, il n’eut pas besoin de me demander d’écarter les jambes. Je les ouvris largement, poussant mes genoux vers l’extérieur.
    
    Marc s’assit sur les talons devant moi.
    
    — Je t’en prie, balbutiai-je. Viens, entre en moi. J’ai besoin d’être remplie, il y a un vide en moi qui t’attend...
    
    Je distinguais à peine, dans le lointain, Hélène et Georges relaxés et heureux, dans les bras l’un de l’autre. Je pouvais entendre la douce respiration de leur désir comblé.
    
    Marc plongea en moi, le vide fut rempli. Ma tête roulait sur elle-même. Je sentis tout de suite l’orgasme monter en moi, lentement et délicieusement comme une chaude brise ...