1. Le soir où ma soeur m'a réservé une surprise (1)


    Datte: 01/05/2021, Catégories: Hétéro Auteur: doumeg170, Source: Xstory

    ... protestai-je.
    
    — Vas-y, insista Hélène, ce sont des bonbons très spéciaux, faits à la main, pleins de miel, de noisettes et d’autres ingrédients inattendus.
    
    En articulant le mot, elle baissa le ton et chuchota :
    
    — Ils sont aphrodisiaques.
    
    Hélène et moi nous écroulâmes de rire. Georges nous rejoignit près de la boîte à bonbons. Il sourit d’un air pas sûr de lui, ne sachant pas ce qui nous amusait tant.
    
    Hélène et moi sucions les bonbons, ils étaient délicieusement érotiques. Environ une demi-heure plus tard, une sensation agréable de chaleur et de désir commença à monter en moi en partant des jambes, comme des ondes à la surface d’un étang.
    
    Marc m’observait de près. Ses yeux sombres pénétraient jusqu’au fond de moi et sa bouche appelait la mienne. Avant de vraiment savoir ce que je faisais, je rampai vers lui, comme une pénitente rendant hommage à quelque divinité offensée.
    
    Il tendit les bras vers moi. Je me souviens vaguement d’Hélène et jetai un coup d’œil vers elle. Elle sourit et hocha la tête. La situation me rappelait le temps où nous étions gamines, quand nous partagions tous nos jouets.
    
    Je tombai dans les bras de Marc. Son corps était dur et viril sous le fin coton. Il me serra contre lui ; il était protecteur, rassurant.
    
    Je pensai : » Pauvre Hélène. Elle n’a pas la meilleure part dans cette affaire. Georges va rester assis là, comme un mannequin, moitié embarrassé, moitié pompeux ». Je regardai à nouveau de leur côté et... ne pus en croire ...
    ... mes yeux.
    
    Hélène était couchée sur le dos, sa jupe remontée jusqu’au-dessus des seins. Georges était couché près d’elle. Il était nu. Sa verge avait l’air plus grosse que je ne l’avais jamais vue.
    
    Il se pencha pour l’embrasser entre les cuisses, une chose qu’il ne m’avait pas faite depuis notre lune de miel. Ses mains remontèrent pour saisir les seins fermes d’Hélène et en caresser les mamelons, les frottant, les pinçant, dessinant de tendres cercles autour des pointes dressées. Hélène secouait la tête de droite à gauche, la bouche ouverte. Je les contemplai, incapable de détacher mes yeux de cette scène fantastique : mon mari menant une autre femme au sommet de l’extase.
    
    Hélène arrivait à l’orgasme. Je sentais la même jouissance m’envahir, et, quand elle cria de jouir, j’en fis autant.
    
    Marc me prit la tête entre ses mains douces et me retourna vers lui.
    
    — Souris, me dit-il. Sois heureuse. Le sexe est quelque chose de joyeux.
    
    Il avait raison. J’étais heureuse, délicieusement heureuse et j’adressai un sourire à ses yeux extraordinaires.
    
    — Enlève tes vêtements, m’ordonna-t-il d’une voix calme.
    
    Je ne ressentis aucune gêne à me débarrasser de chaque pièce. Il s’était reculé et suivait avec attention tous mes mouvements.
    
    — J’adore les seins aux bouts saillants, me dit-il. Tu as les plus beaux tétons que j’aie jamais vus.
    
    — Ils sont embarrassants, dis-je avec un soupir, en croisant les bras sur ma poitrine. Ils sont toujours dressés.
    
    — Merveilleux, ...