Une famille sexuellement débridée (10)
Datte: 29/04/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: yannlakeu, Source: Xstory
... boule ?
— Ben quoi, Tonio ! T’as jamais vu un chien bander ? C’est bien la peine de vivre à la campagne ! dit mon père. Penche-toi et regarde.
Et comme je me penchai, papa s’écria !
— Ah mais quel con ! Putain quel con ! C’est lui qu’on cherche depuis des mois ! Le gars chez la mère pétard, c’était lui !
Puis il sortit la caméra et se mit à filmer.
— Mais p’pa ! Qu’est-ce que tu fais ?
— Faut que ton frangin et ta sœur voient ça !
— Mais, faut arrêter ça !
— Ben... pourquoi ?
— Mais p’pa... enfin... merde... c’est... c’est pas normal... c’est dégueulasse !
— Tu crois que c’est normal de baiser ta mère et de te faire sodomiser par ton frangin ?
— Mais c’est pas pareil... Franchement... nan, c’est dégueu !
— Dégeu ! Au contraire ! Crois-moi, celui-là, il risque pas de te faire un p’tit frère et il a pas besoin de capote ! Il va pas non plus lui refiler la ch’touille à ta mère ! On n’a pas besoin de lui demander un certif médical ! Y a rien de plus propre !
— Mais c’est un chien tout de même !
— Regarde-les ! Ils ont l’air malheureux là tous les deux ! J’ai jamais vu ta mère baver autant ! Putain qu’elle est bandante !
De fait, maman gémissait sans arrêt, les yeux fermés avec le visage pour ainsi dire déformé par le plaisir. Je demandai pourtant :
— M’man ? M’man ?... dis quelque chose... t’aimes ça ?
Elle ne sut que balbutier quelques mots;
— Grosse queue... haaaaaa... bon..... bon... pisse sans arrêt dans ma chatte... ...
... haaaaaa !
— Tu prends vraiment ton pied ?
— Haaaaa... tu d’vrais... tu d’vrais..... mets-là toi dans le cul... trop boOOOOOon !
— Ah putain de grosse chiennasse, t’es une femelle en chaleur, putain tu m’excites ! Tonio, bouffe-moi le nœud bordel... j’tiens plus.
J’obéis tout en restant sidéré par la scène.
Papa me défonça la bouche violemment en serrant ma tête si fort qu’il m’en faisait mal. Puis il se retira, me flanqua une petite paire de claques, et me prenant brutalement par l’épaule, me bouscula vers le lit contre lequel je tombai.
Il me releva, me fit pivoter pour que je tombe sur le matelas, à côté de ma mère et du chien. Je m’étalais sur le ventre de tout mon long. Il me rattrapa par les hanches pour me ramener en arrière et me mit sa queue.
— Non p’pa, j’suis pas près.
— M’en fous. Serre bien les dents. Tu vas la sentir passer. C’est le même gabarit que ton frangin, ça doit entrer.
Il me déchira brutalement le cul à m’en tirer des larmes de douleur.
— Deux bonnes putes ! Vas-y mon toutou, bon chien ça... Ah le pied bordel ! Le pied ! Bon ton p’tit cul ! Serré. J’comprends ton frangin. Bonne petite chatte ! Ah vous aimez les grosses bites hein les salopes !
La douleur maintenant déclinait et le plaisir montait à mesure que mon père accélérait les coups de boutoir.
— Vous me faites jouir les deux salopes là... prends ça dans ton p’tit cul, p’tite lope !
Et il se vida les couilles en s’allongeant complètement sur moi.
A côté, le ...