Une famille sexuellement débridée (10)
Datte: 29/04/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: yannlakeu, Source: Xstory
Je regardai maman préparer le petit-déjeuner du dimanche. Elle fait traditionnellement des pancakes.
Elle était vêtue d’une robe courte et d’un chemisier. Elle était levée depuis longtemps déjà, toujours la première.
Gilles entra, en caleçon. Il se colla dans son dos, posa ses grosses pattes sur les seins qu’il écrasa, et se frotta la pine dans la raie du cul en disant :
— Jour m’man, tu sais que tu sens déjà l’odeur du cul !
— C’est bien possible.
— Putain ! Si je n’avais pas autant la dalle, je t’enfilerais déjà. L’estomac peut pas attendre... Les couilles, si !
Maman passa la main dans son dos pour tâter le pacson.
— Hmmmm, bien dure...
— Gaule du matin !
Et, tout en se frottant, il tendit la main pour attraper un pancake sur le plan de travail.
— Tutututtt ! Bas les pattes ! Tu vas m’en mettre partout. Va t’asseoir. Je t’apporte tout.
Mon frère vint se mettre à mes côtés.
— Salut p’tite pute ! dit-il en me pinçant un téton car j’étais torse nu.
— Salut p’tite bite !
— Tu disais pas ça l’autre soir.
— Ah ? Tu es sûr ?
Maman nous apporta une assiette pleine et nous nous mîmes à dévorer en portant la discussion sur le programme de la journée. Sport le matin, bricolage l’après-midi pour terminer au plus vite le baisodrome du rez-de-chaussée, qui prenait belle tournure.
Papa entra, pantalon de survêt et torse nu.
Comme mon frère, il se colla à ma mère, mais il ne lui prit pas les seins. Il glissa en revanche sa main entre ...
... les jambes.
— Et allez donc ! T’as encore la moule pleine de foutre, dit-il en agitant son bras avec vivacité. Qui t’a sautée ?
— Hé hé !
— T’es pleine de jus, salope... dit-il en retirant les doigts. Gillou, p’tit cochon ! T’as déjà enfilé ta mère ?
— Oui... mais pas ce matin.
— Sûr ?
— Regarde !
Ne perdant pas l’occasion de s’exhiber qui se présentait à lui, Gilles se leva et baissa son froc pour montrer son zob tendu à éclater.
— Prête à l’emploi... même pas pignolé du matin.
— Alors c’est toi Tonio ?
— Même pas !
— Putain, c’est qui, c’est qui ? C’est encore l’autre type que tu retrouves chez la voisine. Il t’a déjà tronchée ce matin ? Mais c’est qui ce mec ? Tu vas enfin nous dire qui t’insémine comme ça ?
— Trouve !
Mon père, tout en laissant maman sucer ses doigts qu’il plongeait et replongeait dans la chatte pour en ramener le plus de jus possible, émit donc une série d’hypothèses. Ma mère, de temps à autre allait retrouver un amant sous le prétexte d’aller nourrir le chien de la mère Pétard et d’aérer la maison de la vieille dont la santé déclinait et qui n’était pas à la veille de revenir de convalescence.
Il avait bien pensé au facteur, mais puisque celui-ci venait se faire vider les burnes directement à domicile, il n’avait pas intérêt à s’en cacher... et puis le dimanche ?!?
— Un type du village ? Un gars de passage, mais un régulier ?
— Qu’est-ce ça peut te foutre ? dit Gillou. Qu’elle baise ici ou ailleurs !
— ...