1. Une famille sexuellement débridée (10)


    Datte: 29/04/2021, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: yannlakeu, Source: Xstory

    ... Mais j’aime savoir et voir bordel ! Je trouverai ! Je saurai !
    
    Mais nous n’en sûmes rien. Quand ma mère restait trop longtemps en face, on y allait dans l’espoir de découvrir le pot aux roses mais jamais. D’ailleurs, le gars devait venir à pied car aucune voiture ne paraissait dans la rue. Il devait piquer à travers champs, ce qui désignait un mec du village. Maman s’amusait fort de nos suppositions.
    
    Puis la mère Pétard mourut. Nous héritions de ses biens à condition de s’occuper de son chien jusqu’à ce qu’il périsse. Tous les trois mois, le vétérinaire devait examiner le clébard et faire un rapport au notaire.
    
    La bête était jeune encore. Rien n’avait été prévu pour elle chez nous mais nous y étions tous très attachés. Du reste, sa taille et sa force donnaient à ce jeune mâle un air propre à décourager les rôdeurs.
    
    Doué d’une intelligence peu commune, le chien Grobasar savait ouvrir les portes en appuyant sur la poignée. Il faisait irruption n’importe quand, nous faisant fête. Il faudrait mettre des poignées rondes.
    
    Dans la semaine qui suivit son arrivée à la maison, alors que j’étais seul en train de me branler sur mon lit, écoutant mon père déglinguer ma mère dans leur piaule et regrettant l’absence fraternelle et couillue de Gilles, l’animal, auquel je n’étais pas encore habitué, réussit à ouvrir à la deuxième ou troisième tentative. Je l’avais entendu gratter contre la porte, avant que j’aie eu le temps de m’arrêter et de fermer à clef.
    
    J’étais sur le ...
    ... dos, jambes écartées, et m’apprêtais à me pousser un godemichet dans la rondelle.
    
    Le chien monta sur le lit, me renifla le trou, avant que je le fasse dégager.
    
    Il m’avait un peu coupé mon effet et je décidai de le prendre par le collier et de le descendre au sous-sol. Là, il nous ficherait la paix. Mais il était déjà sur la porte de mes parents. Il se dressa sur ses pattes arrière, pesant de tout son poids sur les deux autres pour actionner la poignée qui céda. La porte s’ouvrit.
    
    Mes parents n’y prêtèrent pas attention, pensant sans doute que je venais me joindre à leurs ébats.
    
    Papa était allongé le cul au bord le lit, jambes pliées, pieds au sol et maman, parée pour une levrette, le suçait avidement.
    
    Le chien mit sa truffe dans la raie du cul puis aussitôt se leva et s’abattit sur ma mère. Il trouva immédiatement la fente. Son zob disparut d’un coup arrachant un cri de douleur ou de surprise à la malheureuse qui n’en laisse guère échapper que lorsqu’elle jouit.
    
    Mon père sursauta.
    
    — Qu’est-ce qui se passe ?
    
    Quant à moi, j’étais resté immobile de stupeur.
    
    — Ah la vache, la vache... celle-là elle est forte, dit mon père qui, debout désormais, se grattait la tête en regardant la scène.
    
    Ma mère serrait les draps et gémissait.
    
    — Ça va m’man ? Tu veux qu’on le dégage ?
    
    — Pas possible... il est déjà bloqué.
    
    — Bloqué ?... Comment bloqué ?
    
    — La grosse boule, elle est dans mon trou, il peut plus ressortir.
    
    — La grosse boule, quelle grosse ...