Le supplicié
Datte: 28/04/2021,
Catégories:
fh,
couple,
hsoumis,
sm,
attache,
yeuxbandés,
bougie,
fouetfesse,
Auteur: Diablocor, Source: Revebebe
... déglutis d’envie. Je continue mon manège autant qu’il continue de geindre en me priant cette fois d’arrêter. La bougie continue de se consumer, ignorant ses suppliques et cette fois une large et épaisse goutte de cire brûlante atterrit sur le bout de son gland qui s’est gorgé de sang à force d’excitation. L’homme râle mais il semblerait que le désir se soit emparé de lui. Je me recule à nouveau et l’admire. Son sexe basané, rasé de près, est large, grand, dressé. Je suis remplie d’une envie sauvage d’être prise par cet apollon mais ne laisse rien paraître. Pas tout de suite…
Le champ de vision étant bien dégagé, on pouvait apercevoir aisément ses bourses qui semblaient contenir tout ce dont une femme rêve de recevoir. On dirait deux gros abricots mûrs prêts à exploser. J’avais gardé le briquet dans ma main et décidai de faire monter la température d’un cran. Je l’allumai donc et le fis tourner autour de son sexe. Une flamme diabolique entama sa danse. L’orangé et le jaune faisaient ressortir la belle couleur brune de ses parties. La flamme lui toucha un testicule et l’homme cria. Je retirai le briquet et fis courir la flamme le long de son flanc jusqu’à son aisselle, le long de son cou, près de son oreille, sans jamais le toucher puis repris le chemin inverse jusqu’à arriver à son entrejambe à nouveau. En même temps, de l’autre main, je pris une de ses couilles et la serrai progressivement jusqu’à presque la broyer. Je jubilais en le voyant s’époumoner de ...
... douleur.
Son pénis, lui, était bandé comme jamais et je décidai alors de l’empoigner. Je lâchai le briquet et caressai de façon affirmée cet appendice magnifiquement levé vers le ciel qui n’attendait qu’attention. Je fis de savants va-et-vient, flattai son gland où suintaient les prémices du divin nectar tout en lui serrant et desserrant tour à tour l’une ou l’autre de ses couilles. Il gémissait, mais cette fois, le plaisir prenait le pas sur la douleur, même si cette dernière était encore bien réelle, au vu du pliage des commissures de ses lèvres.
Il grimaçait. Je mouillais. Le désir se faisait de plus en plus présent, de plus en plus vivace. Tout en continuant de le masturber tantôt délicatement et doigté, tantôt sauvagement et sans retenue, je me relevai, et saisis un fouet, ultime objet de souffrance de mon délire sadique. Soudain et sans prévenir, je lâchai prise et giflai du plat de ma main cet organe du désir. Le sexe de l’homme vacilla, tendu à en céder puis reprit sa place initiale, je recommençai, encore et encore. C’était une souffrance telle qu’il n’arrivait même plus à articuler une injure. C’était cri sur cri.
Je stoppai et me glissai derrière lui, lui écartai violemment les jambes, lui appuyai sur la taille afin de le cambrer et lui ordonnai de rester dans cette position. Et je me mis à le fouetter. Les lanières claquèrent d’abord doucement sur sa belle peau brune maintenant en sueur d’avoir trop vécu en si peu de temps, en premier lieu sur ses cuisses qui ...