Le supplicié
Datte: 28/04/2021,
Catégories:
fh,
couple,
hsoumis,
sm,
attache,
yeuxbandés,
bougie,
fouetfesse,
Auteur: Diablocor, Source: Revebebe
... gauche et la lèche en petits mouvements doux et saccadés. Je sens son souffle s’accélérer. Il ne comprend pas… Il est à ma merci, je peux en faire ce que bon me semble, je trouve cette situation tellement jouissive que ma respiration aussi se fait plus intense.
Puis subitement il hurle :
— Mais qui êtes-vous, à la fin ?
C’est alors que je lui assène une fessée retentissante sur sa fesse droite. Si forte qu’elle laisse une trace rougeâtre avec la marque de mes doigts. Il crie de douleur et rentre dans une colère noire. D’où une autre fessée, plus forte encore, exactement à la même place que la précédente. La douleur s’amplifie. Un rictus s’empare de sa mâchoire, il serre les dents et marmonne des mots inintelligibles. Puis, silence. Je reste à quelques centimètres de lui, le regardant de plaisir.
Il souffre, il geint, il se remue comme un beau diable, retente de se libérer les mains. Sans succès. J’aime.
— Que voulez-vous de moi ? finit-il par dire d’une voix mêlée de colère et d’abattement.
Je pose alors mes deux mains sur ses épaules, toujours sans un mot, remonte le long de ses bras tendus dont les poils noirs se dressent à mon contact, et redescends vers ses larges épaules, continue vers son poitrail et je peux voir que ses mamelons ont durci.« Éprouverait-il finalement un quelconque plaisir à mon jeu démoniaque ? » me dis-je en moi-même. Je m’empare alors de deux pinces à linge qui se trouvent là et lui attrape simultanément l’un et l’autre de ses tétons ...
... dressés. Un cri de souffrance jaillit de sa gorge en un râlement de mâle aux abois. J’aime. Je me délecte. Il est grand, il est fort, ses muscles se bandent d’un seul coup, ses bras s’agitent de façon spectaculaire, au risque de se blesser. Ses poignets sont au supplice et de larges traces commencent à se montrer. Je le laisse se calmer en continuant de savourer mon vil stratagème. Après quelques instants de répit, je fais vibrer à nouveau les épingles à linge, les tire un peu, remue ses tétons qui n’aspirent qu’à la délivrance. Mais le moment n’est pas encore venu. Patience. Il crie de nouveau :
— Ça vous amuse de me brutaliser ? Vous êtes à coup sûr une femme ! Une chienne ! Pourquoi tout ce mal ?
Me faire traiter de chienne… pourquoi pas ? Remarquez… Cependant, j’ai décidé de ne pas l’entendre de cette oreille. Je m’éclipse donc, et vais chercher quelque chose de dur et de long, prends un briquet et reviens vers ma victime. J’allume alors la bougie et attends que la cire fonde un peu et forme une petite mare sur le dessus. Ayant le souvenir de la « chienne », je renverse quelques gouttelettes sur ses aisselles dégagées et offertes.
— Ahhhhh, c’est bouillant, vous êtes malade ! crie-t-il.
Je maintiens la tête de la bougie en bas et d’autres gouttes suintent maintenant en direction de son ventre. Malgré ses supplications, son pénis semble commencer à se durcir et des veines affleurent sur cette partie si sensible. Cette vue fait ma plus grande joie. Je salive et ...