Sophie à l'EHPAD (3)
Datte: 25/04/2021,
Catégories:
Trash,
Auteur: TURBO77, Source: Xstory
... groupe se formait autour de moi, sans un mot. Chacune et chacun s’étaient rapprochés de nous.
— Allez, Robert, faites-la monter sur ma monture, mais à cru !
Pendant que Robert allégeait la charge du cheval en ôtant la selle, Maîtresse expliquait que nous devions nous rendre à une soirée, mais que j’avais un peu anticipé le plaisir de mettre ma belle robe du soir.
Les femmes avaient des rires forcés qui sonnaient faux. Ils justifiaient sûrement leur énervement à voir une jeune femme nue au milieu d’un apanage bien habillé, en tenue de cavaliers et cavalières.
Je crois que la présence du cheval, l’odeur de la bête leur tournait la tête. Le lieu lui-même était en complète contradiction avec le fait d’y voir une fille dévêtue et visiblement sous les ordres d’une maîtresse autoritaire.
Une fois le cheval prêt, Robert me hissa sur la bête en m’attrapant à bras le corps, écrasant mes seins au passage. Je passais mes jambes de chaque côté du poitrail de l’animal, mon entrejambe en contact avec l’encolure. Robert se saisit de la longe et commença à me faire tourner dans le manège.
Bien sûr, je n’allais pas bien vite, mais le vent de la vitesse me fouettait le visage et le torse; mes seins tressautaient au rythme de l’animal. Mes cuisses ne me permettaient pas de me tenir, mais je serrais fort la sangle de cuir; ma position me projetait vers la tête de la bête et ma chatte en contact avec les poils s’y frottait dans un mouvement saccadé qui m’excitait au plus haut ...
... point. Je devais avancer mon corps en le montant et le redescendant en fonction du trot du cheval, ce qui me donnait un mouvement de haut et de bas qui frottait mon clitoris sur le crin de la bête. Trois tours plus tard, je fermais les yeux et profitais de ce moment de plaisir pour exprimer un orgasme tonitruant. Les spectateurs devaient être ravis du spectacle que j’offrais et de mes manifestations orales.
— Tu as mal ma chérie ?
Maîtresse Syl fit stopper le cheval afin de voir si mon clitoris ne s’abîmait pas. J’étais hallucinée par la façon dont elle parlait, mais je devais être la seule. Tous voulaient voir si ma chatte était irritée.
Elle aimait m’humilier, me faire vivre des moments qu’elle ne pouvait envisager pour elle, son ego ne le supporterait pas. Mais me faire vivre cette humiliation était pour elle une jouissance véritable, ses yeux ne pouvaient mentir et j’étais heureuse d’être le réceptacle de son plaisir. Je me prêtais avec abandon à ses désirs.
J’étais descendue, portée par plusieurs bras qui m’allongèrent sur un banc de bois. Mes jambes maintenues en l’air, Maîtresse écarta à l’extrême mes lèvres, pour montrer les dommages causés à mon vagin.
Chacun évaluait le degré de ma blessure et de mon excitation. La cyprine couvrait ma chatte.
Maîtresse fit un exposé sur mon corps ; toutes les parties étaient explorées. J’étais toujours admirative devant sa façon de gérer l’ingérable. Des gens qu’elle ne connaissait pas se laisseraient mener dans une ...