1. Sophie à l'EHPAD (3)


    Datte: 25/04/2021, Catégories: Trash, Auteur: TURBO77, Source: Xstory

    ... d’eau et le savon de Marseille tenaient lieu de douche. Il dirigeait le jet sur mes lèvres pour les écarter avec la force de l’eau, c’était divin ! Mes cheveux qui avaient l’habitude du shampoing, de l’après-shampoing et du démêlant, étaient lavés au savon, utilisé pour mon corps.
    
    Les gestes de Charles pour procéder à ma toilette étaient sans ambiguïté : masturbation, pénétration avec tout ce qui se présentait à portée de main. La séance durait toute la matinée. Il me faisait branler les lévriers pour que je récupère le sperme et que je l’utilise en guise de dentifrice. Plus il me faisait me brosser les dents, plus le sperme moussait. J’en avais partout ! Cela dégoulinait sur ma poitrine et mon ventre...
    
    Mon intimité n’avait déjà plus aucun secret ni pour lui ni pour les cabots. J’étais épuisée par des orgasmes à répétitions.
    
    La fameuse publicité concernant les cinq fruits et légumes par jour n’était pas un vain mot pour Charles qui me les introduisait avec une méticulosité poussée à un point si extrême qu’il faisait pénétrer ledit fruit ou légume entièrement dans la chatte ou dans le cul. Pour ma part, mes préférences allaient vers le concombre et la banane, plus aptes à me satisfaire du fait de leur taille adaptée à ma morphologie.
    
    Dans la buanderie, j’avais droit, une fois mes mains liées à la poutre du plafond, à une mise en place systématique de dizaines de pinces à linge. Mes seins, ma chatte, mon clitoris, ma langue, mes paupières. J’en avais partout ! ...
    ... Son jeu consistait à les faire sauter ensuite avec le bout d’un cintre.
    
    Le déjeuner - j’étais toujours nue, les mains liées dans le dos - je le prenais dans les gamelles des chiens, au chenil. Ils cherchaient à accaparer ma pitance. Mais Charles veillait à ce que je me nourrisse.
    
    Il finissait par sortir son sexe rabougri ; je lui donnais un âge à ce moment-là ! Je jugeais qu’il avait au bas mot 75 ans. Il me le collait dans la bouche, mais dans l’impossibilité de bander, il se secouait la bite devant ma figure, et finissait par m’uriner dessus.
    
    Avant que Maîtresse Syl ne vienne me chercher, il me donnait une dernière douche et me parfumait.
    
    J’avais choisi cette vie et je ne le regrettais pas. Parfois, c’était dur; mais être la soumise d’une telle femme valait bien quelques sacrifices. J’étais fragile et vulnérable, une victime toute désignée. J’acceptais tout, pourvu que l’on s’intéressât à moi.
    
    La pire des punitions aurait été que l’on ne m’utilise pas, que des gens, même des inconnus, ne me portent pas attention. Ma timidité m’obligeait à une retenue naturelle, et jamais je ne provoquais les actions des autres envers moi. Mais je les espérais tellement fort, que des personnes plus réceptives que d’autres captaient mes envies et mes désirs, enregistraient ma disponibilité à leur égard, et savaient qu’elles pouvaient faire de moi ce que bon leur semblerait. C’est probablement la qualité première de tout Maître ou Maîtresse.
    
    Je crois que je révélais leurs ...
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