1. Sophie à l'EHPAD (3)


    Datte: 25/04/2021, Catégories: Trash, Auteur: TURBO77, Source: Xstory

    ... l’utiliser en dehors de ma présence si bon vous semble. Faites en sorte qu’elle soit toujours propre. J’ai donné congé à la femme de chambre.
    
    Pas de réponse de Charles, mais une espèce de grognement et une courbette de sa part indiquèrent qu’il avait compris. L’idée de devoir subir cet homme ne me réjouissait pas plus que cela. Je lui trouvais une ressemblance avec Émile Louis; ce qui n’était pas pour me rassurer. Par contre, les chiens m’attiraient grandement. Depuis ma découverte à l’EHPAD des possibilités de rapports avec les animaux, mon univers s’était agrandi.
    
    Maîtresse Syl tira sur ma laisse :
    
    — Dis bonjour à tes congénères Sophie, ma brave petite chienne ! Je te présente Phébus et Perceval, mes deux lévriers whippet. Embrasse-les, ils sont affectueux et aimants, ils sauront te rendre heureuse.
    
    Je m’approchai d’eux; et la langue sortie, je cherchai à lécher leur museau. Je reçus des coups de langue baveux sur tout le visage. Et bien que Charles les tint fermement, je sentais leurs langues passer sur mon arrière-train. Mon odeur de chienne en chaleur ne leur échappait pas ! Leur belle couleur fauve tachetée de noir était magnifique. Leurs fourreaux semblaient bien remplis, ce qui laissait présager une bite de bonne taille. Tout était en délicatesse chez eux, comme chez leur maîtresse (qui était aussi la mienne).
    
    Mais elle avait sans doute décidé que ce n’était pas le moment d’aller plus loin avec ses trois animaux.
    
    Je gagnais la maison sur mes deux ...
    ... jambes. Elle m’interrogea sur mon intérêt pour ses chiens, et je ne manquai pas d’aboyer une fois. C’est elle qui m’intéressait pour le moment, et je me posais au sol dès l’entrée de la maison franchie, pour lui lécher les pieds. Elle me caressa les cheveux et m’entraîna dans le salon où elle s’assit les jambes écartées. Elle ne portait pas de culotte.
    
    J’allais enfin pouvoir aimer cette femme si désirable. Ma langue se délectait de son goût légèrement salé, je pris ses lèvres longues dans ma bouche pour les sucer avec délice, les étirer en les gobant avec mes lèvres serrées. Son clitoris était de bonne taille, bien plus long que le mien. Je fourrageais entre ses cuisses de longues minutes.
    
    Elle m’interdit l’usage de mes mains. Seules ma langue et ma bouche étaient autorisées à lui rendre hommage. Elle entra en pâmoison et un orgasme violent la secoua. Ses mains étaient agrippées à ma chevelure et je ne pouvais plus respirer durant tout le temps de son plaisir. Mon nez, comme ma bouche, était contre son vagin, forcé contre son corps. L’air me manquait. Je repris ma respiration quand elle s’aperçut que j’étouffais.
    
    Elle me fit la lécher pour nettoyer son sexe chaud et devenu odorant. Ses leucorrhées étaient plus acides que le sperme, je m’en délectais, bien que je n’eus pas l’habitude - hormis celui de Gabrielle, la grosse femme noire à l’EHPAD- du jus de jouissance des femmes.
    
    J’ai passé la nuit au pied de son lit. Au réveil, je n’osais pas bouger : j’attendais un ...
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