1. Sophie à l'EHPAD (3)


    Datte: 25/04/2021, Catégories: Trash, Auteur: TURBO77, Source: Xstory

    ... lui. Je comprenais qu’ils voulaient me faire baiser par le bestiau, et j’avais franchement peur. Mais il ne s’agissait pas vraiment de cela.
    
    Ils voulaient me voir sucer la bite et les couilles du canasson. Robert excitait le sexe du cheval à la main, la femme avec sa cravache, et Maîtresse Syl me l’offrait avec cérémonie. A genoux sous le poitrail de la bête, je m’aidais de mes mains pour tenir la bite à la hauteur de ma bouche. Pas question pour moi de me l’introduire, le sexe était énorme. Je passais la langue sur le bout, aspirais, léchais comme un cornet de glace, attrapais ses boules et le masturbais vivement. Le goût était âcre et n’avait rien à voir avec celui des sexes d’hommes ou même de femmes.
    
    La femme du couple branlait son mari qui, avant le cheval, m’aspergea la bouche de son sperme chaud. Robert avait sa bite à la main également, mais attendait le dénouement du plaisir de son protégé avant de prendre le sien.
    
    Maîtresse me doigtait fortement, et mes seins n’étaient pas laissés à l’abandon non plus.
    
    Enfin, le cheval lâcha une vague de jus sur mon visage. Chacun voulait voir ma langue lécher le liquide visqueux, et Robert avec la cravache ramassait les éclaboussures pour me les faire avaler. Il ne tint pas longtemps à me regarder faire. De plus, mes seins maltraités me faisaient remuer en tous sens.
    
    Il m’éjacula dans les cheveux.
    
    Je tombais sur le sol, Robert ôta les attributs chevalins : la selle, le mors qui pendait sur mon torse, et la ...
    ... lanière. Je pus respirer deux minutes. Une bouteille de whisky circulait et j’eus le droit de me « rincer les amygdales » avec.
    
    Le cheval ramené dans son box, je fus lavée au jet, frottée à l’étrille par la femme toujours très excitée. Ma chatte n’était pas épargnée et j’eus un orgasme qui me cloua au sol. La dureté des poils de la brosse était un délice que je goûtais comme le plus suave des tourments. J’étais éreintée ; Maîtresse Syl se chargea de me ramener à la voiture et de récupérer ma robe du soir.
    
    De retour à la maison, je dus me mettre à quatre pattes devant le canapé. Elle me cracha sur l’anus pour mieux entrer ses doigts dans mon trou. Elle comptait elle-même, et à voix haute, combien elle pouvait en faire pénétrer. Elle me fit lécher un à un ensuite, les quatre doigts qu’elle avait rentrés. Elle s’assit sur ma figure, je n‘eus d’autre choix que d’ouvrir ma bouche pour respirer, et bien sûr ma langue se ficha dans sa chatte brûlante. Je m’occupais de Maîtresse Syl en la léchant durant de longues minutes. Mon visage était trempé de cyprine.
    
    Je fus triste quand elle m’abandonna aux soins de Charles et lui ordonna de me faire une séance de ‘‘désintox ’’. Je ne voyais pas trop en quoi j’avais été intoxiquée suite à mon passage au centre équestre.
    
    Mais j’eus droit à un lavage en règle.
    
    Ma journée n’était pas encore terminée : je devais subir Phébus et Perceval, ainsi que les tripotages de Charles, jamais avare de trouvailles vicieuses.
    
    Je pris son sexe ...
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