Une curiosité de provinciale
Datte: 10/05/2018,
Catégories:
ffh,
inconnu,
grosseins,
fépilée,
fête,
soubrette,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
Oral
historique,
historiqu,
Auteur: Ben, Source: Revebebe
... crépus. La femme avait une coiffure extraordinaire faite de petites tresses serrées. L’homme portait une lance et un bouclier peint. Ils arboraient tous les deux des magnifiques colliers faits de coquillage, de perles de bois, de plumes. Ils étaient torse nu.
— La femme aussi ?
— La femme aussi était torse nu, et arborait fièrement ses seins luisants qui s’agitaient quand elle dansait. Ils n’avaient pour tout vêtement qu’une espèce de pagne en paille tressée. Le déguisement était si réussi que je me suis demandé un moment s’il ne s’agissait pas de l’un ou l’autre ambassadeur d’un quelconque roi africain qui passait à Versailles et avait été convié au bal.
— Ont-ils dansé ?
— Tout ce beau monde a dansé. C’était très beau à voir.
— Et après, que s’est-il passé ?
— Ce qui se passe parfois.
— Qu’est-ce à dire ? Allons, parle.
— Je ne sais si je dois.
— Tu ne dois avoir aucun secret pour moi. De toute façon, je devine déjà.
— Quoi donc ?
— Je suppose que le bal officiel s’est terminé, mais que certains convives ont poursuivi la fête. Tu y étais ?
— Eh bien, oui, maîtresse, j’y étais. C’est même aussi pour cela que j’avais accompagné votre mère. Je veux dire, pour participer à la suite de la fête. Une partie de l’assemblée s’est retrouvée dans l’antichambre où nous attendions. Il y avait là le prince de Montherme – celui-là je l’ai reconnu parce qu’à un moment il a tombé le masque – plusieurs couples, deux jeunes femmes qui étaient plus que des amies, et un autre homme ...
... dont je n’ai jamais découvert l’identité. Une douzaine de personnes, en tout, et une autre soubrette, et un valet.
— Les domestiques étaient aussi déguisés ?
— Pas exactement.
— Dis-moi.
— Nous avions reçu instruction de nous dévêtir.
— Quoi, complètement ?
— Oui, nous étions nus. Nous avions un masque comme seul déguisement.
— Pas besoin de me dire comment le bal a continué.
— Vous pouvez deviner que ces dames et ces messieurs n’étaient pas là pour boire le thé.
— Raconte.
— Vous êtes donc vraiment curieuse.
— Bien sûr. Tu ne vois pas que toute cette histoire m’excite assez ?
— N’êtes-vous point un peu trop jeune, pour entendre ce genre de récit ?
— Tu me prends pour une oie blanche ? Après ce qui s’est passé hier, et ce matin ?
— Je veux bien vous raconter, mais alors il faut que vous m’en donniez l’envie…
— Et comment puis-je t’en donner l’envie.
— Vous pourriez… relever votre robe, par exemple… ou l’ôter tout à fait.
— Ne serais-tu pas un rien vicieuse, Elodie ?
— Si fait, Maîtresse. Cela ne semble point fait pour vous déplaire.
— Ôte-moi le corset, mais continue ton histoire. »
Ravie de la tournure des événements, Elodie n’hésite pas un instant. Elle s’approche de sa maîtresse, dénoue le lien qui serre le corset, et libère sa poitrine. Elle contemple sa maîtresse dans le miroir en face d’elles. Il lui offre la vision sublime d’une jeune femme dépoitraillée, le corset béant, les seins arrogants, le regard brûlant. Elle se risque à effleurer un sein, ...