1. Une curiosité de provinciale


    Datte: 10/05/2018, Catégories: ffh, inconnu, grosseins, fépilée, fête, soubrette, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Oral historique, historiqu, Auteur: Ben, Source: Revebebe

    Caroline est assise à sa commode de toilette, et réfléchit tout en coiffant ses cheveux.
    
    Elle est presque nue, elle a juste enfilé un négligé de soie précieuse qu’elle a trouvé dans la garde-robe. Il ne lui appartient pas, mais elle s’est dit que s’il se trouvait dans la garde-robe, c’était pour qu’elle puisse l’utiliser. Elle ne s’est pas étonnée qu’il soit si transparent qu’on devine ses formes au travers du tissu, et si petit qu’elle peine à le refermer sur sa poitrine généreuse : elle commence à soupçonner l’ambiance qui règne dans la maisonnée.
    
    Il y a quelques années, elle aurait encore été gênée d’enfiler un tel vêtement. Mais ses pudeurs adolescentes sont oubliées depuis longtemps. Ce qu’elle a pu voir dans la maison de Rennes a vite aboli chez elle toute gêne face à la nudité. Il faut dire que la maison de son père était à tout moment emplie d’individus qui ne montraient aucun complexe à se promener nus : qu’ils soient maîtres ou valets, hommes ou femmes, beaux ou laids, tous montraient leur corps dans un esprit de totale liberté. D’après ce qu’elle en avait lu, les Romains et les Grecs vivaient déjà ainsi, avant que la liberté des corps et des esprits soit brimée par les carcans moraux de l’Église. La Cour de son père avait donc sans doute redécouvert les plaisirs de l’Antiquité. Mais ce goût pour la nudité n’aurait su se dire en dehors de la maison : autant derrière les murs la société tolérait tout, autant en public la pudibonderie ambiante imposait de ...
    ... respecter les normes strictes en matière d’habillement.
    
    Caroline s’est découvert très jeune un penchant pour l’exhibitionnisme, qui n’a fait que se renforcer avec l’âge. À partir du moment où ses formes généreuses se sont épanouies, elle a pris de plus en plus de plaisir à montrer le galbe de ses cuisses, la rondeur de sa croupe, l’arrogance de ses seins. Elle est très fière de son corps, et aime l’offrir aux regards des autres. En arrivant à Paris, elle craignait perdre cette liberté de mouvement. Après son aventure d’hier avec la soubrette, après la scène qu’elle a surprise ce matin dans la cuisine, après le petit déjeuner particulier, elle est rassurée : les occupants de la maison semblent aussi libres que ceux de la maison de Rennes.
    
    Elle se lève, et va se contempler dans le miroir de la garde-robe. Ses tétons sont dardés, et pointent à travers le fin tissu. Le négligé entrouvert dévoile une partie de ses gros seins ronds, de son ventre lisse, de son sexe presque glabre. Elle écarte le tissu, et s’apprête à caresser sa jolie moule, lorsqu’on frappe à la porte.
    
    Elle referme comme elle le peut le négligé, et entrouvre la porte. C’est Elodie. Elle a beau ne connaître la jeune soubrette que depuis quelques heures, elle se comporte déjà avec elle comme avec une vieille amie. Elle la laisse entrer, sans guère se préoccuper du négligé entrebâillé sur son corps nu.
    
    « Votre mère est réveillée. Bien sûr, elle a hâte de vous voir et de vous serrer dans ses bras.
    
    — Aide-moi ...
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