1. Ma mère et mes soeurs, quelles salopes! (1)


    Datte: 24/04/2021, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: canis, Source: Xstory

    ... leva ses magnifiques yeux vers moi, regard plein de gratitude et de reconnaissance.
    
    Ma langue eut raison de son con, quelques minutes après, son clito, dévasté, jouit fort ; une giclée d’une rare violence aspergea mon visage ; et elle m’intima de manger tout ce jus, qu’elle recueillit, me donnant ses doigts à lécher jusqu’à la dernière trace, un idyllique sourire en coin, se délectant de ce spectacle, un homme mangeant de la cyprine coulant sur son visage, les doigts de sa mère en guise de cuillère n’est pas vraiment courant. Mon saucisson ne bandait pas, mes couilles furent grosses comme des mandarines, le scrotum dur et tendu ne demandait qu’une chose : jouir encore, et encore, à en mourir...
    
    Je me branle sur ses seins de rêve ; je gicle une bonne quantité de liqueur de gland, et j‘étale et masse les globes mammaires avec pur délice pour tous les deux. Désormais, nous étions allés trop loin pour ne pas finaliser l’acte sexuel, donc elle s’offrit à moi, à tous mes fantasmes sans condition avec son corps et son âme d’une vraie salope dans toute sa splendeur. Tout ce que la morale réprouve devient désuet et ...
    ... obsolète, nous sommes pleinement conscients que nous sommes mère et fils, mais là, il n’y a plus qu’un jeune homme qui couche avec une femme mature, bien qu’encore jeune. Les barrières tombent, une à une, plus de limites ni de tabous, rien que du sexe et de l’amour réel et concret.
    
    Après avoir encore bouffé son con et l’avoir fait couiner un orgasme certain, je lui ai mis la bite en face, et suis rentré en elle d’une seule traite, doucement, mais en une seule fois, marre des chattes trop serrées qui demande du temps et de la patience, une chatte qui a déjà enfantée est bien meilleure, plus large où on peut facilement entrer, mes va-et-vient commencent rapidement pour durer une éternité, c’est dans des corps enlacés aux bouches soudées, la peau brillante et baignée de sueur que les orgasmes montent et éclatent en cascades, la tenant par les cheveux, la tête rejetée en arrière, elle hurle son intense plaisir, ravagée par une jouissance électrique du point G, doublée d’un frôlement de glande para-urétrale, qui vont faire de nous des esclaves sexuels épuisés et endormis, les sexes encore collés, et ce, pour toute une nuit. 
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