Ma mère et mes soeurs, quelles salopes! (1)
Datte: 24/04/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: canis, Source: Xstory
... soir même, maman rentra dans ma chambre, s’assit sur le lit et me demanda calmement pourquoi et comment j’ai pu en arriver là ?
— C’est arrivé, c’est tout, il n’y a pas de raison, c‘est biologique, je t’aime maman !
— Moi aussi, mon fils, mais comme un fils ; tu ne peux être mon amant, tu comprends ?
— Même pas une fois seulement ?
Je savais qu’elle allait dire non ; je n’avais plus qu’une solution : me jeter sur elle, la maîtriser et l’embrasser ; si elle résiste trop, la violer directement ; mais je ne voulais pas en arriver là, je voulais simplement lui faire l’amour de son plein gré. Cloé, surprise, ne résista pas longtemps ; sous mes 199 centimètres pour un poids de 110 kilos, elle capitula et accepta un baiser, puis en redemanda, conquise par ma dextérité buccale. Bien vite, sous mes caresses, elle devient plus audacieuse, cherchant ma bouche, pendue à mon cou, mon corps enserré entre ses jambes, ses mains sur ma poitrine, elle me donne ses seins à lécher et sucer.
Pour moi, ce fut que du bonheur ; je ne voulais rien d’autre, je lui mange entièrement les seins, les pétrissant comme fait un boulanger, je suce à en perdre haleine, ses nichons de déesse plantureuse, titillant sauvagement, mais avec passion ses tétines, tétant comme un bébé, aspirant ses pointes roses. Sa poitrine devient bien vite le terrain de jeu de ma langue lécheuse, de mes baisers et de mes caresses, deux monts de mes désirs les plus fous. Sa respiration se fait plus bruyante et plus ...
... rapide, elle commence à gémir doucement, puis plus fort, ensuite son corps se contracte, maintenant elle est à moi, et elle en a vraiment envie, je savais en cet instant que ma mère pouvait être une vraie salope. Alors que je lui pelote les fesses, elle pose sa main sur mon ventre, et descend jusqu’à mon sexe tendu, aux veines saillantes et palpitantes.
Ma main aussi glissa entre ses cuisses, caressa délicatement sa vulve imberbe, qui déjà, se mit à gonfler et à durcir ; la moite chaleur de sa peau m’excita encore davantage, et mon phallus se tendit encore plus, comme une pine vengeresse dressée vers le ciel. Sans un mot, dans une osmose parfaite, nos corps se sont imbriqués en position de 69 ; elle est en dessus, moi en soumission, la femelle dominante alpha, avalant le sexe mâle avec impérialisme, je ne pus que dévorer le fruit mûr et juteux de la dominatrice de mon corps.
Mais mon instinct belliqueux de mâle reprenant le dessus, je lui montrai qui était le maître, un coup de reins magistral inversa la situation, léchant et mangeant son con trempé comme jamais ; j’entrepris de lui baiser la bouche ; immobilisée, elle fut contrainte de subir les assauts de ma trompe raide, lui laissant juste le temps de reprendre sa respiration, je plonge à nouveau au fond de sa gorge où mon gland s’écrase à chaque coup de reins entrant, puis, incapable de me retenir plus, je jouis comme un porc, lui remplissant de sperme le gosier, inondant sa bouche, l’obligeant à tout avaler. Elle ...