Ma mère et mes soeurs, quelles salopes! (1)
Datte: 24/04/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: canis, Source: Xstory
Notre famille n’a plus de père depuis de nombreuses années, nous sommes donc au nombre de 4 : maman Cloé 40 ans, ma grande sœur Pamela (Pam) 22 ans et ma petite sœur Silvia (Sili) 18 ans, et moi 20 ans, qui est bien le seul homme de la famille. Cette histoire, quoiqu’en partie vraie, se passe il y a 30 ans. Nous sommes en juillet 1989 au bord de la plage en méditerranée où nous possédons un mobile home depuis très longtemps, dans le trou du cul du monde, à 2 heures de route de toute civilisation, dans un endroit désert et difficile d’accès ; nous sommes donc seuls en nudistes pour passer une grande partie de notre vie, nous sommes rentiers. En matinée, déjà sous un soleil de plomb et malgré l’ombre de la pergola, la chaleur insupportable nous oblige à passer une grande partie de la journée dans l’eau.
Ma mère, un jour, me demande de lui passer de l’écran solaire, un boulot normalement fait par Pam ; mais pour cette fois, et c’est là que notre vie va changer, commençant par les épaules ; mes mains enduites de crème vont et viennent le long de ses bras, sur son cou et sa nuque ; elles descendent sur son dos, caressant la chute magnifique de ses reins, remontant sur son ventre, puis plus haut sur les seins, là, sa main m’arrête,
— Chéri, je peux le faire seule ici, tu sais !
— Oui, je sais, mais ne fais pas ta sainte-nitouche, tu sais que tes seins sont parfaits, laisse-moi en profiter un peu !
— Mais tu es mon fils, pas mon amant !!!
— Et cela change quoi ? Fils, ...
... amant, frère, neveu, tes miches n’en sont pas moins désirables, et ne me sort pas le terme inceste qui n’est qu’un mot, inventé par les hommes pour faire chier les hommes ; regarde les animaux, eux ne s‘embarrassent pas de liens de parenté ; et jusqu’aux preuves du contraire, nous sommes aussi des animaux - Monde zoologique-
Ma mère interloquée, sidérée par mon audace, ne fit rien pour m’empêcher de me faire plaisir et laissa mes mains aller et venir sur ses superbes globes ni petits ni énormes, juste bien proportionnés pour une femme de 185 centimètres.
Je ne pus retenir un soupir et sentis mon membre durcir et gonfler considérablement, ma mère avait fermé les yeux, et savourait en secret les sensations que lui procuraient mes caresses douces et tendres, ressentant la chaleur de mes mains enduites de crème autobronzante. Un gémissement à peine audible sortit de sa bouche, je ne pus réprimer un baiser à la commissure de ses lèvres charnues et sucrées. Sa poitrine était devenue dure, et les tétons pointaient fièrement vers le ciel, gorgés de sang, demandant à corps et à cris, une langue pour les sucer. Je me suis approché, au premier coup de langue, Cloé me repoussa violemment et ses yeux me lancèrent des éclairs pleins de fureur et d’indignation. Elle remarqua ma pine bandante, et me gifla fort, et pour ne pas lui en retourner une, je me suis éloigné, dépité et frustré. Mes sœurs n’ont rien remarqué, et s’occupaient à batifoler dans l’eau, jouant avec les vagues.
Le ...