Carole au Nirvana
Datte: 23/04/2021,
Catégories:
f,
parking,
danser,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Masturbation
Auteur: Pierre et Carole, Source: Revebebe
... soirée.
— Ah non. Je ne sors pas en boîte comme cela. Allez-y sans moi.
— Qui te parle d’aller en boîte ? Tu sais bien que Carole déteste cela. On pourrait juste aller prendre un verre au Nirvana.
Pour ceux qui ne connaissent cet endroit, je précise qu’il s’agit d’un bar branché de la ville où se retrouvent les nostalgiques de la musique des années 80-90 ; amateurs de U2, Dire Straits, Peter Gabriel … vous pouvez y aller les yeux fermés. Ce bar présente par ailleurs la particularité sympathique d’avoir au milieu des tables et banquettes une piste de danse, souvent peu chargée, qui permet aux amateurs de rock de pouvoir s’exprimer sans se bousculer. C’est donc un endroit où nous allons parfois pour retrouver l’ambiance de nos soirées étudiantes. Carole, très enthousiaste, réagit la première.
— Oh oui, allons-y ! Cela fait plusieurs mois que je n’y ai pas mis les pieds.
— OK, mais juste pour un prendre un pot. Comme dessert, je n’avais prévu que des fruits. On y va maintenant et je vous paye une glace.
— Pour moi, ce sera une poire Belle-Hélène. Mais galanterie oblige, et comme c’est moi qui vous ai proposé d’aller là-bas, ce soir vous êtes mes invitées.
Je ne veux pas laisser aux filles, et notamment à Aude, le temps de changer d’avis. Je me lève donc en m’adressant à elle.
— Demain, c’est samedi, tu auras tout le temps pour ranger ton salon et faire la vaisselle. Alors en route !
Le bar en question n’est qu’à quelques minutes à pieds. Je prends juste ...
... quelques billets dans la poche, et propose aux filles de ne pas s’encombrer de leur sac à main. Sans rien prendre d’autre, car la température est des plus douces, nous quittons l’appartement. Nous marchons dans la rue, côte à côte, moi au milieu. Machinalement, comme nous le faisons souvent lorsque nous sommes ensemble, j’attrape les deux amies par la taille. Je souris lorsque je croise le regard de deux promeneurs certainement un peu envieux de ma situation. La robe d’Aude est très fine, et j’ai l’impression d’être directement au contact de sa peau. Cela me rappelle immédiatement son petit secret, et, délicatement tout en discutant, mon bras glisse doucement le long de son dos ; ma main arrive ainsi au contact de sa hanche, tout juste à la naissance des fesses. Je retrouve alors une sensation que j’adore avec Carole lorsqu’elle porte une robe en tissu léger et que, d’une caresse de la main, je devine l’absence de culotte.
— N’en profite pas trop quand même ! me glisse Aude en me remontant la main vers sa taille.
Le chemin se poursuit ainsi calmement jusqu’à l’entrée du bar. Nous y entrons, et y trouvons facilement une place dans la première salle. C’est une pièce assez grande. Dans un coin, contre un mur, il y a un bar avec ses grands tabourets devant. Ensuite contre les autres murs, sont installées une dizaine d’alcôves avec des banquettes en forme de U qui peuvent contenir de 6 à 10 personnes selon leur taille. Au centre de tout cela, la piste de danse un peu surélevée par ...