1. Carole au Nirvana


    Datte: 23/04/2021, Catégories: f, parking, danser, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation Auteur: Pierre et Carole, Source: Revebebe

    ... caresser d’un doigt en le faisant aller et venir le long de sa fente. Au début, Carole fait comme si cela ne lui faisait rien :
    
    — De toute façon, tu n’arriveras à rien. Je n’ai pas envie.
    
    Elle commence alors à discuter avec son amie, affichant une désinvolture à toute épreuve et ne prêtant pas attention à ce que je fais. Je sens cependant que son corps est en contradiction avec ce qu’elle veut me faire croire. Ses lèvres s’ouvrent d’elles-mêmes, et je concentre ma caresse sur son clitoris tandis que ses cuisses s’ouvrent naturellement. Je la connais bien, et je me dis qu’il ne va pas falloir attendre longtemps pour que cela vienne. Ses mots deviennent en effet de plus en plus hachés, et elle stoppe rapidement sa conversation tandis que ses yeux se ferment. Je lui caresse le clitoris avec le pouce, et mon index va-et-vient dans son sexe. Régulièrement je regarde autour de nous pour voir si notre manège passe inaperçu. Il faut dire que Carole devient de plus en plus bruyante, de petits gémissements sortant de sa bouche, tandis qu’elle ondule de plus en plus du bassin, et qu’elle glisse doucement de la banquette pour venir à la rencontre de mes doigts. Personne ne semble s’intéresser à nous, la musique étant suffisamment forte pour couvrir les bruits émis par Carole, et la table devant nous dissimulant mes doigts des regards curieux.
    
    Seule une personne ne nous quitte pas des yeux. Aude à nos côtés ne peut en effet détacher son regard de mes doigts ...
    ... fouillant l’intimité de Carole. N’y tenant plus, celle-ci agrippe alors ma main comme pour l’enfoncer au plus profond d’elle-même, et conclue sa jouissance par un « Oh oui, c’est bon… » caractéristique de son plaisir. En ce qui me concerne, je bande à en avoir mal, mais je me dis qu’il y a peu de chance que le soulagement vienne rapidement. Je vois mal en effet Carole me rendre la politesse dans ce lieu. À côté de nous, Aude semble très troublée par la scène qu’elle vient de suivre, et elle a juste un commentaire à l’intention de sa copine :
    
    — Tu es belle quand tu jouis.
    
    Même si mon expérience en la matière est plutôt limitée, je ne trouve rien de mieux à ajouter que :
    
    — Toutes les femmes sont belles dans ces moments là.
    
    Curieusement, cette dernière scène sonne comme le bouquet final de la soirée. Après avoir repris un ton beaucoup plus soft, la conversation se tarit vite. Bien qu’il n’y ait que Carole qui ait connu la jouissance ce soir, c’est un peu comme si nous étions tous en période réfractaire. Nous décidons donc d’en rester là et de quitter le bar. Tandis que nous marchons silencieusement dans la rue, je me dis en moi-même, peut-être comme les autres, que plus rien ne sera comme avant entre nous trois.
    
    Une fois chez Aude, à l’heure de nous quitter, sans trop faire de commentaires sur ce que nous venions de vivre, nous nous embrassons en nous remerciant mutuellement pour cette bonne soirée ; chacun se disant peut-être en lui-même : « À suivre … ». 
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