Un mari peu entreprenant et sa femme ...
Datte: 21/04/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
BDSM / Fétichisme
Première fois
Auteur: grandalfo, Source: xHamster
... plus ce qu’il souhaitait, alors cela pourrait se produire chez nous avec le départ de Clarisse.
Mais non ! On ne divorce pas pour des histoires de sexe. Quoique… À moins qu’on commence par aller voir ailleurs pour satisfaire des envies, changer son quotidien et qu’en chemin on rencontre un partenaire que l’on apprécie au point de l’aimer d’amour.
Clarisse doit voir le cheminement de ma pensée, car :
— Chéri je t’aime. Je ne vais pas te quitter. Mais tu travailles trop. La vie défile vite, il faut savoir en profiter. Profiter de tous les instants et oser réaliser ses envies.
Elle s’approche de moi. Elle m’enlace. Son corps contre le mien, sa tête contre la mienne. Je ne sais quoi faire !
La repousser en me souvenant qu’elle vient de quitter les bras de son amant, un amant auquel elle se donne avec vice et stupre. Ne pas lui pardonner et alors entrer dans la spirale des reproches, des disputes pour finir par nous séparer…
Retenir cette déclaration d’amour. Prendre ma part de responsabilité même si je ne suis tout de même pas le seul fautif pour excuser son comportement de « chienne en chaleur ». Pardonner et oublier…
Mais Clarisse profite de mon trouble pour glisser ses mains entre chemise et peau en détachant quelques boutons. Elle effleure mes tétons et puis se penche pour les embrasser. Je frémis de cette caresse inconnue et cela doit la conforter. Sa bouche glisse vers mon ventre. Elle se baisse. Ses mains s’attaquent à ma ceinture et sont si ...
... efficaces que bientôt pantalon et slip sont sur mes genoux. Elle les tire un peu plus et dans un mouvement réflexe, je soulève jambe après jambe, pour me retrouver la bite à l’air et les jambes libérées. Une bite pour l’instant bien sage, reposant sur mes couilles, mais qu’elle saisit déjà par deux doigts délicats pour l’approcher de ses lèvres. C’est comme une aspiration et je disparais dans sa bouche. C’est chaud, humide, mais déjà je ressors. Les mêmes doigts maintiennent maintenant ma verge et la bouche va s’occuper de mes bourses. Jamais je n’ai laissé ma femme me sucer ainsi. Lorsqu’elle s’essayait à me gober le gland, je la relevais bientôt, pensant qu’elle se forçait pour me faire plaisir et alors je la pénétrais essayant de me retenir le plus longtemps possible afin qu’elle ait sa jouissance avant que je me libère en elle.
Ce n’est pas ma femme, mais une courtisane, une rencontre d’un soir dans un hôtel de province, maîtresse qui pompe son amant et qui en échange attend que l’homme la lèche et la fasse jouir ainsi. Avec ces femmes-là, je me libérais et acceptais de recevoir et de donner toutes ces caresses intimes, possessions perverses dans des positions qui… Un peu comme tout à l’heure… Comme j’ai entendu et imaginé…
Oui, une courtisane qui me gobe et lèche les couilles comme de gros bonbons, les abandonnant pour découvrir un bâton tendu qui ne demande qu’à être sucé. La femelle m’avale. Mon gland est dans les profondeurs de la gorge, la hampe à peine visible. La ...