1. Un mari peu entreprenant et sa femme ...


    Datte: 21/04/2021, Catégories: Inceste / Tabou BDSM / Fétichisme Première fois Auteur: grandalfo, Source: xHamster

    ... salope me suce. Elle me pompe. Ses lèvres forment un étui étanche qu’elle fait glisser tout au long de ma hampe abandonnant des traces de salive. Et sa langue qui m’excite !
    
    Et ses mains sur mes fesses qui me donnent l’impression d’être pris en étau, prisonnier d’une bouche avide et qui se crispe lorsqu’elle cherche à me gober le plus possible !
    
    Et ce regard qu’elle me jette alors qu’elle me relâche pour reprendre sa respiration. Un regard si trouble, les yeux mouillés, mais chargé de tant de pensées, de vice, de perversité. C’est comme si je l’entendais :
    
    « Tu vois, j’arrive presque à tout de prendre » et « Tu aimes ? Tu bandes très fort ! » ou encore : « C’est bon. J’aime te sucer. Comme une salope ! Une vicieuse. »
    
    Alors je ne sais pas ce qui me prend. Une envie non retenue ! Vouloir montrer que c’est moi l’homme ! Que c’est moi qui décide ! Que ce n’est pas une pute qui va me…
    
    Mes mains se saisissent de la tête de la femelle et moi, le mâle, je me sers de sa gorge pour me branler. Elle veut plus de diversité ! Elle va en avoir. Sa bouche n’est bientôt plus qu’une piscine que je baise. Mon gland bute au fond. Mes couilles se bloquent contre son menton. Je m’immobilise tout entier en elle comme si je voulais lui faire ravaler tout ce qu’elle m’a dit, tout ce que j’ai entendu dans l’autre chambre, tout ce que j’ai vu sur le lit… Lorsque je me retire, elle tousse, crache et si elle cherche encore mon regard ses yeux sont remplis de larmes. Mais elle ne ...
    ... proteste pas. Pire, je sens sur mes fesses les contractions qui semblent m’encourager.
    
    — Mais t’aimes ça ! ne puis je m’empêcher de constater.
    
    Sa réponse est un sourire lorsque je la libère à nouveau. Un sourire avec des lèvres grasses, des coulures de salive. Alors je ne me retiens plus. Le peu de pudeur que j’avais encore disparaît. Je ne suis plus qu’une bite raide comme jamais, que je pousse dans la gorge, qui brasse de la salive avec un bruit infâme, abject, mais si excitant au point que bientôt je sens venir ma semence. La seule retenue que j’ai pour cette pute d’un soir, c’est de me retirer un peu, ne gardant que mon gland en bouche pour ne pas l’étouffer avant de cracher mon foutre avec des jets que je sens puissants et généreux.
    
    C’est la première fois. On m’a déjà fait de belles fellations dans mes rencontres d’une nuit, mais jamais au pont de recevoir ma semence et de la boire comme le fait ma salope de femme. Pipes pour exciter avant de recouvrir la queue de latex et pouvoir continuer en toute sécurité. Mais elle, avec son amant, ils se protègent ?
    
    Le temps ralentit. Je viens de me vider avec une jouissance particulière et je regarde cette femme qui a la bouche pleine de ma liqueur et qui referme les lèvres sur le liquide poisseux comme si c’était un nectar. Un nectar que je devine disparaître par une déglutition infâme.
    
    Comment un visage si souillé peut-il montrer son plaisir ? Les cheveux collés, la sueur, la salive, mon foutre, les larmes, comme étalés ...
«12...101112...19»