Un mari peu entreprenant et sa femme ...
Datte: 21/04/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
BDSM / Fétichisme
Première fois
Auteur: grandalfo, Source: xHamster
... t’éloignes…
Elle essaie de m’attendrir. De rejeter la responsabilité sur moi. Mais dans ce que j’ai entendu, il n’y avait bien plus que du sexe. Il y avait toute une ambiance. De ces ambiances que l’on retrouve dans les vidéos pornos où les actrices ne se privent pas de clamer leur plaisir, de demander toujours plus. Moi, c’est ma femme que j’ai entendue et imaginée chienne avec son amant. Non, elle ne m’aura pas ainsi…
Je lui prends le bras. Elle me regarde effrayée. Je relâche ma prise :
— Suis-moi.
Mon pas est rapide. La chambre est vite atteinte. Sur le lit, dans un désordre qui montre bien ma stupéfaction lorsque j’ai tout découvert, gisent les preuves de pratiques hors norme.
— Et ça ? dis-je, et puis en montrant je m’inquiète : j’espère au moins que tu as pris tes précautions pour acheter ces accessoires de pute… Et qui sait que tu me fais cocu ?
Elle a le même sourire de tout à l’heure lorsque j’ai reproché qu’elle me ridiculisait aux yeux de son amant. Mais elle résiste au plaisir de me confondre.
— Rassure-toi, personne. Je fais très attention. Et pour cela, elle montre le lit, Simone croit que c’est pour toi.
— Simone ? Que vient faire Simone dans cette histoire ?
Simone est une amie de Clarisse de longue date. Au fil des années, elle est aussi devenue une intime de notre couple. Son mari était sympa. On a fait beaucoup de choses tous les quatre, vacances, sorties, réceptions, etc. Mais lui est parti avec une jeunette, laissant son ...
... épouse sur le carreau.
— C’est à elle que j’ai acheté tout ça.
— Hein ! Mais comment…
— Après le départ de son salaud de mari, elle a cherché du travail, mais comme rien ne venait, elle s’est mise à organiser des réunions. Tu sais ces ventes à domicile.
— Oui, je connais et alors ?
— Elle a commencé avec des produits de beauté. De la lingerie aussi. Et, comme pour la lingerie beaucoup d’acheteuses lui demandaient si elle avait des choses plus sexy et plus érotiques, elle a augmenté sa gamme jusqu’à ce genre de lingerie.
Clarisse tout en parlant se saisit de ses dessous pour les déployer comme si c’était naturel. Mais elle reprend :
— De fil en aiguille, elle propose aussi toute une panoplie de jouets érotiques.
Un silence où elle déplace ce que j’ai jeté en vrac pour les remettre dans la pochette de tissu.
— Donc elle sait pour tout cela. Qu’est-ce qu’elle doit penser de moi ? De nous ?
— Elle est heureuse pour nous.
— Avoir besoin de tout cela dans un couple la rend heureuse ?
— Oui. Elle me dit qu’ainsi notre couple n’explosera pas comme le sien. Que son mari ne serait pas parti avec une autre si elle avait fait des efforts pour le séduire, éviter la monotonie, lui permettre de trouver à la maison une femme plus maîtresse qu’épouse, coquine pour l’exciter, prête à tout lui accorder…
Elle ne termine pas sa phrase, mais me regarde dans les yeux. La conclusion est sous-jacente. Si le mari de Simone est parti parce que sa femme ne lui apportait ...