Expérience en Egypte
Datte: 10/05/2018,
Catégories:
hh,
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Auteur: Mario, Source: Revebebe
... un seul, qui décrivait des cercles et me dilatait délicatement !
Il m’a ensuite pénétré avec délicatesse. C’était beaucoup moins douloureux que la première fois, mais j’étais très tendu et il n’arrivait pas à progresser comme il l’aurait souhaité.
Il m’a expliqué comment me détendre, m’a ensuite susurré en anglais des insanités à l’oreille.
J’ai aimé et il l’a entendu.
Il en a rajouté, avec plus d’impatience dans la voix.
Ça ne passait pas.
Il m’a demandé de forcer comme si je voulais l’éjecter à chacune de ses pressions.
Ça ne passait toujours pas.
Il m’a alors injurié sans retenue et s’est mis à me claquer violemment les fesses, une fois, deux fois, dix fois, en augmentant la violence de ses assauts.
Je n’avais peut-être pas trop le choix non plus, dans la position de dominé dans laquelle je me trouvais, mais je ne me suis pas opposé et ai accepté ces coups, même si leur violence me surprenait.
J’ai laissé faire et en même temps, mon plaisir grandissait.
Quand son sexe est arrivé au plus profond, jusqu’à ne pas pouvoir aller plus loin, je me suis surpris à hurler sans pouvoir me contrôler.
Je veux dire que je m’entendais beugler mais ne pouvais rien faire pour ne pas le faire.
Chaque va-et-vient m’arrachait ce son rauque qui sortait de ma bouche, que j’entendais, qui me surprenait par son bruit idiot et son intensité mais que je ne pouvais arrêter.
Je pensais que c’était trop fort, trop intense, que ma tête allait éclater ou que ...
... mon cœur allait péter avant. J’avais peur, oui, parce que je ne savais pas où allait m’emmener cette folie.
Mélange de plaisir effréné, d’incertitude, de douleur aussi.
J’entendais le souffle de mon amant, ses râles de plaisir.
Et plus j’entendais son plaisir croître, plus le mien augmentait.
Ce niveau de jouissance était tellement… nouveau.
J’ai fermé les yeux et me suis longtemps demandé après coup, si par moments je ne perdais pas connaissance. Je ne sais plus.
Jamais jusqu’à ce jour je n’ai à ce point perdu le contrôle sur moi-même.
J’étais un pantin entre ses mains.
Il continuait à me frapper violemment tantôt une fesse, tantôt l’autre.
Et chaque fois son gland venait me heurter en un endroit en moi qui électrisait tout mon corps.
Me frappait-il parce qu’il n’arrivait pas à jouir ?
Je ne sais vraiment pas comment s’est terminée notre lutte.
Longtemps après, seul dans mon lit, j’ai essayé de me souvenir. Impossible.
Sans doute ai-je totalement perdu connaissance à un moment donné.
Quel dommage !
Lorsque j’ai ouvert les yeux, cette main qui m’avait sévèrement cogné massait gentiment mes fesses, y étalant labiafine que je réservais pour les brûlures du soleil. Il était allongé à mes côtés, toujours nu, souriant, me disant des phrases apaisantes, le plaisir qu’il avait eu, et aussi que mes fesses étaient franchement rouges et que j’aurais mal.
On a discuté de tout et de rien, de nos vies, de la chaleur extérieure.
On a aussi ...