1. Expérience en Egypte


    Datte: 10/05/2018, Catégories: hh, hotel, hsoumis, hdomine, hdanus, hsodo, sm, gifle, init, journal, Auteur: Mario, Source: Revebebe

    ... trop envie de parler avec un garçon, je veux dire un amant. Je veux de lui qu’il me baise, car selon les credo des forums, avec les garçons, je suis résolument…Bottom.
    
    Où rencontre-t-on des amants ?
    
    Partout.
    
    Et pour un voyageur solitaire, les occasions et les lieux sont, reconnaissons-le, disons assez bien fléchés.
    
    Premier amant sérieux fut, alors que j’avais dix-huit ans, un garçon d’étage d’un palace égyptien. Il avait bien huit à dix ans de plus, mais contrairement à beaucoup de mes amis, je ne m’arrête jamais à l’âge des hommes. Des femmes si, quand même.
    
    Mon père m’avait emmené avec lui dans ce pays de rêve et je flânais autant qu’il travaillait. Je flânais beaucoup.
    
    Premier contact visuel avec le garçon, premier flash. J’avais ensuite multiplié les occasions de le revoir, de le croiser, de le faire venir dans la suite paternelle. Bref, pas stupide, mon manège l’avait amusé et il n’était pas très farouche.
    
    Toutefois j’étais timide. Lui encore plus. Il devait se dire : « si je bouge, je peux être viré… »
    
    Je me disais : « j’ose pas, il va me gifler. »
    
    Comme c’était délicieux ! Cette peur, cette incertitude, cette gêne.
    
    Alors que j’avais trouvé une nouvelle excuse débile pour lui faire monter un coca, on a parlé de tout et surtout pas de ce qui était évident. On a ri aussi, enfin je l’ai fait rire. Comme il m’interrogeait sur l’évident niveau de confort de l’hôtel et de notre chambre, je lui ai dit de s’allonger sur le lit.
    
    Ambiance tout de ...
    ... même détendue oblige, il l’a fait.
    
    Puis il s’est tu.
    
    Pas facile.
    
    Je le revois, allongé sur ce lit trop grand, silencieux, me regardant, implorant mon initiative… et moi la sienne.
    
    Comme on avait tout sur place pour faire simple, on a évidemment fait compliqué.
    
    Il s’est relevé, m’a salué, après que nous avons convenu de nous retrouver le lendemain au centre de sport tout proche où il pratiquait la course à pied avec ses amis.
    
    Ça nous a donné la nuit à l’un comme à l’autre pour se dire qu’on avait été bien cons de ne pas se la jouer cinq étoiles.
    
    Le lendemain, après m’être procuré non sans mal l’équipement sportif alibi, nous avons couru pour suer et nous sommes bientôt retrouvés tous deux dans deux cabines de douche qui se faisaient face.
    
    La nudité, l’eau, la complicité de la course et des propos ambigus échangés ont fait le reste.
    
    Il y eut un sourire, puis d’autres, puis des mimiques et des gestes non équivoques montrant à l’autre que tout aurait pu arriver la veille. Comme on en a ri d’ailleurs, plus tard !
    
    Je me souviens qu’à chaque fois que chacun de nous prenait une pose très clairement lascive, l’autre bavait tout en contrôlant avec anxiété que personne aux alentours n’était témoin.
    
    C’est dans le sauna que ça s’est conclu ! Étaient présents lorsqu’on est rentrés deux de ses amis avec lesquels on avait couru.
    
    Ils ont échangé en arabe. Langue que je ne comprends pas, mais j’ai tout de même bien compris que ses amis savaient. Ils ont ri, ...
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