Capucine - Histoires de Sexe

Capucine

... tandis que l’autre descendait doucement vers son tanga. Elle écarta le tissu noir et me dévoila son sexe imberbe. Je sentis ma gorge se serrer. Un doigt roula sur son clitoris, puis ouvrit ses grandes lèvres. J’écarquillai les yeux.

Son doigt s’enfonça adroitement. J’osai relever les yeux et constatai que son regard cherchait le mien. Je fus une nouvelle fois éblouie par un flash qui envoya ma tête en arrière : je voyais son doigt entrer en moi et je ressentis nettement le plaisir me remplir.

— Tu vois, je peux te faire ressentir mon désir à distance… ce qui n’enlève rien à mon envie de te toucher !

En disant ces mots, elle se leva et se mit à quatre pattes sur la table basse pour attraper mon visage et m’embrasser. Notre baiser fut presque électrique. Très vite, je sentis ses mains ouvrir mon cache-cœur pour libérer mon soutien-gorge. Sans l’enlever, elle découvrit mes tétons et entreprit de les lécher longuement. Mon esprit m’offrit l’image de cette femme quasi nue jouant avec mes seins, comme si je pouvais contempler la scène de l’extérieur.

Ensuite, tout s’enchaîna rapidement. Les embrassades suivantes furent l’occasion de me déshabiller progressivement mais totalement. Je descendis moi-même son tanga et m’attardai sur ses fesses excitantes. Ensuite, elle s’agenouilla entre mes jambes. Ses mains et sa bouche reprirent possession de mes seins tandis que mes jambes se refermaient sur ses reins. Ses caresses étaient délicieuses. Sa langue enflammait mes ...

... tétons. Chaque particule de mon corps cherchait le contact de sa peau. Mon désir était fort et je me souvins, à cet instant, de l’inimaginable orgasme de la veille.

Comme en écho à ce souvenir, Capucine posa ses lèvres sur mon sexe. Mon désir coulait abondamment et elle se mit à le laper à grands coups de langue. Ses baisers échauffaient ma chatte et mon esprit. Sa salive se mélangeait à ma cyprine et, quand elle colla sa bouche à ma peau pour mieux s’occuper de mon clitoris, un autre flash explosa en moi : je me voyais en train de lécher Capucine exactement de la même façon qu’elle le faisait sur moi.

Elle ouvrit ma grotte de ses doigts pour mieux dégager mon bouton. L’assaut de sa langue provoqua une décharge et une nouvelle offensive d’images mentales.

Capucine m’offrit une scène onirique des plus excitantes : pendant qu’elle me léchait avec gourmandise, Simon s’était magiquement matérialisé derrière elle et la prenait en levrette. Il était nu, beau et son regard brûlant oscillait entre la croupe de sa femme et mon corps. J’entendais nettement les râles de Capucine et je ressentais le trouble de son plaisir m’étreindre.

Je devinai que ce spectacle imaginaire allait bientôt devenir réalité.

Pendant ce temps, Capucine avait introduit deux doigts en moi tout en continuant avec sa langue. Ma jouissance coïncida avec l’arrivée de Simon dans la pièce. Il était réel, toujours habillé, souriant. J’étais nue, offerte à sa femme et secouée par un plaisir absolument ...