Promesse de vengeance - Histoires de Sexe

Promesse de vengeance

... préservatif, mais si j’ai trop envie, je ne sais pas, je me laisserai peut être prendre sans protection.
— Eh bien, tu aimes vraiment le foutre.
— J’adorerais recevoir le sperme de Philippe dans ma chatte en même temps que le tien dans ma bouche ou sur mon visage. Après, même si je suis fatiguée, je te promets que tu pourras me baiser aussi. Tu sentiras mieux que tu es cocu quand tu mettras ton sexe dans le mien, bien lubrifié avec le sperme d’un autre. Son foutre comme tu dis.
— Alors c’est dit, Philippe te baise cet après-midi.
— Tu ne m’en crois pas capable, hein ? Je ne sais pas si je serai capable de coucher avec Philippe cet après-midi, l’idée est bonne, mais ce n’est pas évident pour moi de passer à l’acte, je suis plutôt pudique et je n’ai pas l’habitude de m’exhiber. Cela dit, ce sera encore moins facile de coucher avec un inconnu. Mais je te ferai cocu, je te le promets.
— Préviens-moi quand tu le feras, si tu le fais un jour.
— Tu trouves l’idée amusante parce que tu crois que je n’oserai pas demander à Philippe ou à un autre de me faire l’amour. Mais tu riras bien moins quand tu seras devant le fait accompli. Et ça risque même d’arriver plus d’une fois si ça me plaît vraiment et que j’y prends goût.

Nous continuâmes nos préparatifs jusqu’à l’arrivée de notre invité. Après nos retrouvailles chaleureuses, nous prîmes tous les trois un apéritif ou plutôt plusieurs, et bien tassés. C’était bien parti pour faire la fête. Puis nous passâmes à table.

Le ...

... déjeuner fut très agréable, et on peut dire très animé. Les différents plats de poisson que nous avions préparés et servis eurent un succès mérité, mais c’était surtout la quantité d’alcool que nous avions absorbée qui commençait à produire son effet et à chauffer les esprits. À la fin du repas, l’ambiance était chaude et grivoise : nous n’arrêtions pas de rire tous les trois grassement en écoutant et en racontant des histoires particulièrement cochonnes, et les commentaires et plaisanteries qui les suivaient n’étaient pas moins salaces.

Quoi qu’il en soit, les sujets de conversation restaient en dessous de la ceinture. Maria était parfaite dans son rôle de représentante du sexe faible et s’enflammait en défendant la cause des femmes :

— Vous les hommes, vous êtes tous des cochons, des obsédés sexuels !
— Pourquoi… ? fit Philippe, les femmes n’aiment pas le sexe, peut-être ? Vous êtes plus hypocrites, et même plus vicieuses que nous dans le fond, car vous savez nous manipuler et vous servir de votre cul pour arriver à vos fins.
— À qui penses-tu ? À la petite secrétaire qui fait des pipes ou qui se fait sauter par son chef pour son avancement ? C’est dépassé tout ça.
— Au contraire, c’est toujours d’actualité. Je connais une femme qui a fait bien pire, j’ai promis à son mari de me taire et je ne peux pas vous raconter ce qu’elle a fait, mais vous pouvez me croire sur parole. Et je croise tous les jours des maris cocus, et des femmes mariées bien sous tous rapports qui ...