Trois filles et leur mère
Datte: 16/04/2021,
Catégories:
Anal
Première fois
Inceste / Tabou
Auteur: luciole06, Source: xHamster
... si vous ne devinez pas pourquoi !"
Comme mon éducation lui importait moins que celle de sa fille, ce fut à Ricette qu'elle s'adressa :
"Comment! une grande fille comme toi, tu ne réfléchis pas qu'au premier coup les hommes se retiennent moins bien qu'au second ? Et tu crois qu'on va te dépuceler comme on passe à travers un cerceau de papier ? Depuis le temps qu'on t'y fourre les doigts, penses-tu que tu serais encore pucelle si je ne t'avais pas fait un pucelage en cuir, comme le trou du cul ?"
Ricette rougit, piquée de recevoir une leçon devant moi ; mais Teresa n'avait pas fini.
- "Qu'est-ce qui arrivera si je vous laisse faire ? Ou bien après cinq minutes d'efforts il jouira dans tes poils et tout sera manqué. Ou bien il sera tellement énervé de se retenir qu'au moment où il entrera... Tiens ! Ah ! Tiens ! tout pour toi !... Je lui couperai les couilles, mais trop tard. As-tu compris ?"
C'était le langage de la sagesse avec un vocabulaire qui, pour n'être pas celui des sermons, avait néanmoins de la force et même une certaine éloquence. En criant ce : "Tiens ! Ah ! Tiens !" Teresa ignorait sans doute qu'elle introduisait une prosopopée dans son discours, mais il n'est pas nécessaire de connaître par leurs noms les figures de rhétorique pour les mettre comme Bourdaloue au service de la persuasion. Fut-ce l'apostrophe, l'hypothèse, l'exhortation ou la prosopopée qui l'emporta ? Je ne sais. Ricette baissa la tête et demanda seulement :
"Alors ! Qui aura le ...
... premier coup si je n'ai que le second ?
- Rentrez. On tirera au sort."
Oh ! cette fois la rhétorique manquait trop à une telle réponse. Mauricette devint furieuse et passa brusquement aux pires excès de langage :
- "Ah ! Non ! vous vous foutez de moi toutes les trois ! C'est mon amant ! C'est moi qui l'ai trouvé ! C'est moi qui l'ai fait bander la première ! J'ai eu l'honnêteté, la connerie de vous le dire et depuis trois jours vous mouillez dessus, et ce soir où il me dépucelle il faut encore que j'aie vos restes ?"
Et comme Teresa souriait, sans émotion ni surprise, Mauricette folle de colère fit alors une scène effroyable. Les paroles passent tous les actes. Je n'avais jamais imaginé qu'une fille, même dressée aux vices, pût dire de pareils mots à sa propre mère. Elle articulait au hasard, d'une voix sans suite, sans raison, pour la joie de lancer les injures dans le désordre et l'incohérence où elle les avait mâchées :
- "Ne me touche pas ! je t'emmerde ! je t'emmerde ! et je foutrai le camp cette nuit ! Je t'emmerde, sale vache ! sale grue ! sale gousse ! sale enculée ! Sale maquerelle ! sale putain ! Tu ne veux pas qu'on t'appelle comme ça ? Putain! Putain ! Putain ! Putain ! Putain ! Putain ! Putain ! Putain ! Putain ! Putain ! Fille de putain ! Mère de putains, gousse de putains, branleuse de putains. Je ne suis pas une putain, moi, je suis une pucelle ! Tu as laissé vendre ton pucelage par ta putain de mère, mais moi je ne suis pas une andouille comme ...