Trois filles et leur mère
Datte: 16/04/2021,
Catégories:
Anal
Première fois
Inceste / Tabou
Auteur: luciole06, Source: xHamster
... quelques mots affectueux. Elle était si pitoyable... Mais Teresa m'interrompit :
"Laisse donc ! tu ne connais pas Charlotte. Quand elle aura fini de pleurer elle se branlera et quand elle aura fini de jouir elle aura envie de pleurer. C'est comme ça du matin au soir, je crois qu'elle jouit des larmes et qu'elle pleure du foutre. Mais tiens ! mais tiens ! qu'est-ce que je disais ?"
Et en effet Charlotte, essuyant ses larmes de la main gauche, avait déjà la droite entre ses cuisses. Au mot de sa mère, elle ouvrit les yeux, vit les nôtres fixés sur elle et dit en se relevant :
"Oh! si vous me regardez tous…"
Mollement, elle glissa la main dans un tiroir, y prit deux godemichés qu'elle se planta l'un après l'autre par-devant et par-derrière, puis recouchée sur le divan, mais les cuisses très écartées, elle remit son doigt en mouvement, et dit avec un triste sourire aux lèvres :
"C'est plus curieux maintenant ?"
On la laissa tranquille. Teresa reprit Mauricette par les épaules, lui arrangea les cheveux et lui redressa la taille comme si elle l'offrait à un riche amateur, et elle répéta :
"Tu veux me dépuceler cette gosse qui a quatorze ans !
- Oui, c'est juré entre elle et moi. Nous avons une dispense de l'archevêque.
- Mais entre toi et moi qu'est-ce qui sera juré si je te la donne ?
- Je ne sais pas du tout. Dis-le.
- Tu ne vas pas faire un enfant à cette enfant-là ? Elle décharge comme une enragée. Ça prendrait du premier coup, tu m'entends ? ...
... Gare à toi, j'aurai la figure dessous et si tu lui lances une goutte de foutre, je te châtre.
- Ne fais pas ça. Je jure d'être sage.
- Alors, où te finira-t-on ?
- L'embarras du choix...
- Ma bouche ? voilà une occasion.
- Ah ! cria Mauricette. J'en étais sûre ! C'est parce qu'il aura la queue toute rouge de mon sang ! c'est pour ça ! je lui avais bien dit que tu n'en perdrais pas une goutte ! que tu fourrerais ta langue dedans ! que tu aurais la bouche pleine de sang et de foutre !
- Hein ? crois-tu qu'il est temps de la dépuceler ? me dit simplement Teresa.
- Oh ! oui, qu'il est temps ! répéta la petite. Maman, laisse-moi lui dire
un mot pour lui tout seul."
Pour être plus sûre de me parler en secret, Mauricette m'entraîna dans une autre pièce et ferma la porte. Si nous nous embrassâmes, je le laisse à penser.
"Ma nuit de noces ? dit-elle gentiment.
- La mienne aussi.
- Tu m'aimes bien ! Je t'aime tant!
- Je t'aime de tout mon cœur.
- Tu vas me faire mal ?
- Mauricette !
- Dis-moi que tu me feras plus mal qu'hier ! plus mal qu'hier ! Enfonce tout ! Déchire-moi ! fais-moi saigner comme un bœuf !"
Elle allait continuer sur ce ton, peut-être, quand la porte s'ouvrit. Teresa reparut et, comme si elle avait entendu la première phrase de Mauricette :
"Ne vous excitez pas, mes enfants ! dit-elle. Je ne vous marierai qu'à minuit.
- Oh ! Pourquoi ? fit Ricette avec colère.
- Et vous êtes vraiment aussi gosses l'un que l'autre ...