1. Trois filles et leur mère


    Datte: 16/04/2021, Catégories: Anal Première fois Inceste / Tabou Auteur: luciole06, Source: xHamster

    ... toi! je ne te laisse pas vendre mon pucelage, je le donne ! Tiens, regarde-le, sale maquerelle ! regarde-le, ma garce ! tu en voulais cent louis, tu n'en auras pas cent sous ! tu n'en auras que du foutre et du sang dans la gueule !"
    
    Debout, les cuisses écartées, la tête en avant, elle ouvrait des deux mains les lèvres de son sexe. Puis elle les referma et parla plus vite de la même voix sourde et haineuse.
    
    "Oui, j'en ai assez de montrer mes nichons dans ton bordel d'enculées ! dans ton bordel de suceuses et de putains à tout faire ! J'en ai assez de te voir à table ramener un filet de foutre à la pointe de ton cure-dents et rire quand tu ne sais plus qui tu as pompé ! J'en ai assez de coucher dans des draps où il n'y a pas une place de sèche, parce que tout le bordel y décharge, les michés, les maquereaux, les gousses et les putains ! J'en ai assez de trouver sur ma toilette une serviette où il y a de la merde, chaque fois qu'un de tes amoureux s'est essuyé la pine dedans. Vache ! Ordure ! Fumier ! Chameau ! Fuie de garce ! Moule à bites ! Gueule de chiottes ! Marchande de chaude-pisse ! Lécheuse de derrières ! Avaleuse d'étrons ! Bouffeuse de vérole ! Compte sur moi
    
    maintenant, ma salope ! compte sur moi pour friser les poils de ta connasse ou pour te passer le bâton de rouge sur le trou du cul ! Je ne veux plus de ta langue ni de tes sales tétons pour me torcher ! et je te chie ! je te chie, maman !"
    
    Ce dernier mot, ce "maman" me fit tressaillir. Mauricette ...
    ... faillit venir à moi, mais voyant l'ahurissement avec lequel je l'écoutais, elle tourna court et se jeta sur un lit, la tête dans l'oreiller. Durant toute cette terrible scène je n'avais regardé que Mauricette. Quand je levai les yeux et les mains vers Teresa pour l'empêcher de renier sa fille comme je pensais qu'elle allait le faire, je la vis aussi tranquille que si elle avait dirigé une répétition de théâtre. Elle frappait sa paume du bout des doigts pour simuler sans bruit un petit bravo et elle dit tout bas avec un long sourire, étonnée de ma pâleur :
    
    "Est-ce que tu ne comprends pas ce qu'elle veut ?"
    
    Où avais-je l'esprit. en effet ? je n'y pensais pas. Mais la phrase était claire, je répondis précipitamment.
    
    "Non ! Oh ! Non ! jamais devant moi !
    
    - Bien. Va-t'en. Laisse-moi seule avec elle.
    
    - Pas ce soir, je t'en prie. Pas ce soir."
    
    Teresa poussa un soupir et, avec une patience qui ne lui était pas coutumière, elle dit entre ses lèvres :
    
    "Ah! les amoureux !... Eh bien! Reste, toi. Mais tu seras sage ! C'est promis ?"
    
    Et je demeurai seul avec Mauricette. Il y eut vingt minutes d'entracte, puis nous rentrâmes et, sans élan mais sans bouderie, la mère et la fille s'embrassèrent comme si rien ne s'était passé. Et ainsi qu'une élève du Conservatoire saute de la tragédie à la comédie, Mauricette, aussi gaie maintenant qu'elle venait d'être furibonde, improvisa un boniment forain avec une étonnante facilité de parole :
    
    "Madame et mesdemoiselles, voici la ...
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