1. Trois filles et leur mère


    Datte: 16/04/2021, Catégories: Anal Première fois Inceste / Tabou Auteur: luciole06, Source: xHamster

    ... celles de Charlotte et de Teresa. Toute tremblante dans mes bras, elle reprit :
    
    "J'ai envie que tu me fasses du mal.
    
    - A toi, ma chérie ? à toi qui as quatorze ans et qui viens toute nue dans
    
    mon lit ? mais je serais un monstre !
    
    - Tu m'en as déjà fait sans le savoir. Avant-hier je n'ai mouillé qu'avec ma salive quand tu m'as enculée. C'était bon. C'était comme si tu m'écorchais par-derrière et plus je souffrais, plus je me branlais.
    
    - Comment, tu es si vicieuse que ça ?
    
    - Non ; mais j'ai envie que tu me fasses du mal pendant que je me branle, répéta-t-elle en allongeant les yeux et en me mordant la lèvre.
    
    - C'est ton plaisir ?
    
    - Prends-moi le bout des seins entre tes dents et serre ! Je te le donnerai, mon pucelage de devant, pour que tu me fasses mal avec ta queue, pour que tu le crèves et qu'il y ait du sang. Maintenant que j'ai bu ton foutre, je suis à toi. Serre-moi dans tes bras, je vais jouir. Serre-moi de toutes tes forces. Casse-moi…"
    
    Décidément, pensai-je à part moi, Lili est la seule raisonnable. Les trois autres sont toquées. Pourtant, je commençais à comprendre pourquoi Charlotte m'avait dit :
    
    "Cette gosse-là nous dégotera toutes les trois."
    
    Charlotte à vingt ans était encore presque enfantine. Mauricette à quatorze ans était femme. Autant la sœur aînée avait l'esprit lent, autant la seconde avait les sens précoces, la chair prompte et l'instinct du vice. On ne pouvait savoir encore ce que deviendrait Lili à la puberté. Mais ...
    ... cette année-là, ce jour-là, c'était Mauricette qui me rappelait sa mère de plus près.
    
    Je voulais la faire parler et je lui dis un mot dont j'ai honte comme d'un crime. Il n'est pas de plus jolis vers latins que ceux où Tibulle sourit aux mensonges amoureux. Et je ne puis sourire à ceux que j'ai faits. Ceci est une confession. Je dis tout ; mais j'aurais plus de plaisir à inventer un conte où je me donnerais (et si facilement!) un rôle toujours sympathique. Concevez l'âge de Mauricette, sa précocité, son ardeur... Imaginez par-dessus tout le sentiment illimité qu'elle devait avoir de son sacrifice ! et combien... Mais pourquoi vous le dire ? Vous ne m'avez déjà que trop condamné ! J'aimais bien Mauricette : je ne l'aimais pas comme on aime ; et, pour la faire parler, sans autre motif, je lui dis sur les lèvres :
    
    "Je t'adore.
    
    - Je t'adore aussi"., murmura-t-elle, sans savoir qu'elle répétait presque la réponse de Mélisande.
    
    Et, comme il était aisé de le prévoir, elle parla ; mais tout de suite, sans transition. Mauricette avait des crescendos brusques semblables à ceux de Teresa :
    
    "Tu ne m'as pas crue ? Eh bien ! tu le verras ! Tu me déchireras les fesses à coups de fouet et tu m'enculeras dans mon sang !
    
    - Moi, je te ferai cela!
    
    - Oui, tu me le feras si tu m'aimes. Je viens de faire pour toi ce que je n'avais jamais fait pour personne. J'ai avalé ton foutre... Tu n'as jamais fouetté une gosse ? Tant mieux ! Tu as horreur de ça ? Tant mieux ! Moi aussi, je ...
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