Trois filles et leur mère
Datte: 16/04/2021,
Catégories:
Anal
Première fois
Inceste / Tabou
Auteur: luciole06, Source: xHamster
... t'apprendrai quelque chose !"
Pas une seconde je n'eus la pensée d'y consentir ; mais, au lieu de répondre, j'interrogeai :
"Comment as-tu ce goût à ton âge ?
- Parce que je suis la fille de maman.
- Qu'est-ce que tu veux dire ? que tu lui ressembles par le sang ? Ou qu'elle t'a...
- Qu'elle m'a dressée ? Dis-le donc ! C'est son mot. Oui, elle m'a dressée
comme un chien savant. Et j'aime ça. Je voudrais en faire autant qu'elle.
- Comment s'y est-elle prise ?
- Oh ! ça n'a pas été long ! Comme elle a le même goût, elle a vu tout de suite que moi aussi... Alors, comme on fait au cirque, elle m'a exercée tous les jours avant de... Enfin, tu sais bien la manière de dresser les chiens ; ils font leurs tours avant de manger ; moi, c'était avant de jouir. Et peu à peu maman a vu jusqu'où... jusqu'où je pouvais aller…"
Je haussai les sourcils. Elle hésita et, de cette voix voluptueuse que prennent parfois les très jeunes filles :
"Tu veux que je te dise ? Ça m'excite presque autant d'y penser près de toi que si tu me le faisais.
- Et moi, j'aime cent fois mieux t'écouter que te battre.
- Me battre ? Si ce n'était que ça ! Tu ne connais pas maman !"
Et, en phrases définitives, elle trancha sa famille comme il suit :
"Je ne peux pas faire comprendre à Lili que maman n'est pas une putain. Mais toi, je pense que tu l'as vu ? Charlotte est une bonne fille. Lili est une putain ; c'est la seule putain de nous quatre. Et maman est un miché. Quand ...
... elle donne une séance avec une de nous devant un client, c'est maman qui bande, c'est maman qui jouit... Et je suis comme maman ! Ajouta Ricette. Moi aussi, je suis un miché et quand j'ai reçu ton foutre dans la bouche...
- Oh ! alors... Et tu vas me donner une bague ?
- Oui ! une bague toute neuve : mon pucelage de devant."
Par la promptitude et la souplesse de sa repartie, elle était remontée d'un bond au point d'où ma stupide plaisanterie avait failli la jeter à terre. Et, vite, elle reprit son récit avec le même accent de joie :
"Tu le sauras comment elle s'y est prise, maman, quand elle a vu que... enfin que j'aimais ça. Elle m'a dit : C'est simple comme tout, nous verrons jusqu'où tu peux avoir mal sans que ça t'empêche de jouir".
- Simple comme tout ! répétai-je. Et c'est elle même qui te faisait mal ?
- Naturellement, dit-elle en toute innocence. Et elle m'en a fait plus que les autres, tu penses bien.
- Comprends pas.
- Voyons ! Charlotte ne t'a pas dit que personne au monde ne fait minette ni ne branle une fille comme maman ? Alors, quand c'était maman, elle pouvait me martyriser et elle me faisait jouir quand même.
- Te martyriser ?
- Et comment ! Charlotte pleurait tout de suite et sortait de la chambre. Elle ne pouvait pas voir ça. Mais moi je ne pleurais jamais, je serrais les dents pour ne pas crier... Ah! tu ne sais guère ce que tu vas entendre!… Regarde mes nichons. On n'y voit rien ?
- Je l'espère ?
- Parce que les aiguilles ...