1. Trois filles et leur mère


    Datte: 16/04/2021, Catégories: Anal Première fois Inceste / Tabou Auteur: luciole06, Source: xHamster

    ... mauvais, dit-elle d'un air encore rêveur. Mais ça m'a fait plaisir. Parce que tu jouissais."
    
    Et, comme je l'embrassais pour ce mot, elle reprit tout inclinée :
    
    - "Et puis... et puis... crois-tu que ton foutre est comme le foutre des autres ?
    
    - Mais oui.
    
    - C'est pas vrai.
    
    - Si.
    
    - Non."
    
    Elle rêva encore et dit en croisant les mains :
    
    "C'est maman qui va être épatée ! Elle ne voudra jamais le croire.
    
    - Comment faire ?
    
    - On recommencera! s'écria Ricette. On recommencera devant elle !"
    
    Ce mot valait une récompense ; nous en eûmes l'idée tous deux à la fois ; mais Ricette parla la première et j'étais à cent lieues d'imaginer ce qu'elle allait me demander. Toujours les bras à mon cou, elle me dit mollement :
    
    "J'ai envie de quelque chose. Dis oui.
    
    - Je dis oui. Qu'est-ce que c'est ?
    
    - Tu vas être bien attrapé. Je sais que tu n'aimes pas ça ; mais tu as dit
    
    oui d'avance. Et j'en ai envie.
    
    - Envie de quoi ?"
    
    Elle prit un temps comme une jeune actrice ; puis elle me dit à l'oreille tout haut malgré elle avec un rire qui faisait trembler ses mots :
    
    "J'ai envie de me branler.
    
    - Petite horreur ! et tu crois que je vais te laisser faire ? Demande-moi
    
    n'importe quoi, mais...
    
    - Rien du tout. Plus tard. Tu m'as répondu oui d'avance, et puis tu le sais bien que j'en ai l'habitude. Je te l'ai dit avant-hier.
    
    - Alors, tu es comme Charlotte ? Quand tu as envie de te branler, tu te branles ? même devant un homme ?
    
    - Surtout.
    
    - ...
    ... Et on ne peut rien t'offrir à la place ?
    
    - Tout à l'heure, supplia-t-elle. Ça n'empêche rien."
    
    Vraiment, c'était le vice de la famille; mais je ne pouvais m'y accoutumer et je ressentais une sorte de jalousie à voir cette petite qui prenait son plaisir elle- même. Elle se touchait à peine, avec lenteur et sans secousses du doigt. Au début, voyant que je cédais, elle devint taquine.
    
    "Regarde mon pucelage, regarde ! dit-elle en ouvrant les cuisses.
    
    - Veux-tu finir ?
    
    - II faut bien que je le branle puisque tu ne le prends pas."
    
    Cette plaisanterie me mit en fureur ; mais Mauricette gardait un si gentil visage que je m'efforçai de plaisanter aussi.
    
    "Mademoiselle, est-ce que vous avez aussi l'habitude de la flagellation ?
    
    - Oui, monsieur, comme ma sœur Charlotte.
    
    - Alors, allez donc chercher le martinet. Ce que vous venez de dire là, ça vaut bien trente coups de fouet sur les fesses.
    
    - Oh ! et quand je serai en sang, tu m'enculeras, dis ? fit-elle en riant.
    
    Penses- tu que je te prenne pour un homme à me fouetter ?
    
    - Tu sais que je ne veux pas te dépuceler parce que je ne te reverrais plus et tu viens me branler ton pucelage sous le nez comme si je n'étais pas capable de le prendre ? Tu trouves que ça ne vaut pas le fouet ?"
    
    II était dit qu'avec les quatre femmes de cette famille j'irais de surprise en surprise. Mauricette devint sérieuse et me dit simplement.
    
    "Donne-le-moi."
    
    Puis elle eut une petite crise qui rappelait à un moindre degré ...
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