Chroniques d'un parc public – partie 1
Datte: 15/04/2021,
Catégories:
Première fois
Voyeur / Exhib / Nudisme
Partouze / Groupe
Auteur: pageblanche, Source: xHamster
... pensées… Cela dit, ce serait sûrement étourdissant, car je ne sais pas combien d’hommes par jour passent à ma caisse. Dans une année, c’est des milliers. Des milliers d’hommes qui vous déshabillent du regard, vous imaginez ? C’est pour cette raison que les caissières regardent rarement les clients dans les yeux, sauf pour leur tendre leur ticket et leur souhaiter une bonne journée. »
« J’y penserai la prochaine fois, ai-je dit en souriant. »
Elle a souri aussi :
« Mais ce sera différent, pour vous, la prochaine fois. »
Je n’ai pas répondu, j’ai attendu la suite. Nous étions là, tous les deux, à poil sur nos serviettes, et personne ne se décidait à venir dans cette petite crique ensoleillée, en plein mois de juillet.
Je bandais toujours.
Elle a ajouté :
« La prochaine fois que vous passerez à ma caisse, vous saurez comment sont faits mes seins et quelle forme ont mes fesses. Si ça se trouve, d’ici là, vous m’aurez même bouffé la chatte et défoncé le cul.
Elle m’a séché.
Je me suis senti rougir comme un débutant.
Sous prétexte qu’on s’était croisé dans un contexte quotidien, je n’avais ni osé entrer dans le vif du sujet, ni faire un seul geste. Je me sentais assez ridicule, mais ça ne m’empêchait pas pour autant de bander. Simplement, ce fut la première fois que je ressentis de la pudeur dans cet immense parc public où tout était permis dans certains endroits, à certains moments.
Voyant mon embarras, elle a terminé en disant :
« Vous pouvez ...
... me demander ce que vous voulez. Tout ce qui vous passe par la tête, y compris des trucs tordus. »
Ce jour-là, personne d’autre que Claire et moi ne vint se déshabiller au bord de cette petite crique discrète. Et, la minute suivante, j’eus le bonheur de lécher le cul de la jolie caissière, pendant qu’elle me suçait divinement. Je ne la voyais pas faire, mais elle crachait sur mon gland avant de prendre ma queue entière dans sa bouche. C’était glissant et elle gémissait sous mes coups de langues appuyés.
Elle m’avait dit qu’elle avait un conjoint, mais ça ne l’empêcha pas de s’empaler sur la bite, au-dessus de moi, en poussant des petits cris et en disant des mots obscènes par moments. Ça ne l’empêcha pas de me demander de l’enculer en tapant bien profond. Ça ne l’empêcha pas de faire une pause pour pisser à un mètre de moi, ni de me laisser éjaculer dans sa bouche, peu de temps après. Ni de me dire, un quart d’heure plus tard, qu’elle avait encore envie de se faire baiser comme ça au bord de l’eau, dans un lieu public où n’importe qui pouvait venir à tout moment.
Alors nous avons recommencé.
Ce jour-là, je me souviens, à mon retour chez moi, j’ai pris une douche vite fait avant le retour de ma compagne. Elle s’appelait Valérie. Nous avons divorcé depuis, en partie à cause de ma petite caissière. Car ce jour-là, Valérie avait envie de baiser, mais je fus incapable de la satisfaire. Claire m’avait complètement vidé.
Claire et tant d’autres avant elle, dans ce parc ...