Chroniques d'un parc public – partie 1
Datte: 15/04/2021,
Catégories:
Première fois
Voyeur / Exhib / Nudisme
Partouze / Groupe
Auteur: pageblanche, Source: xHamster
... aussi prise par derrière, dans l’herbe, pendant que des bites se succédaient dans sa bouche. Je me souviens aussi avoir giclé sur ses nichons en regardant la bite d’un étudiant s’enfoncer dans sa grosse chatte.
Je me souviens d’une femme beaucoup plus jeune que moi, qui s’appelait Marie, assez grande et mince, qui sortait également de sa voiture pour se faire sauter à proximité, tandis que son mari restait au volant, systématiquement, à la regarder, à attendre qu’elle ait terminé de s’envoyer des inconnus.
Aux abords du lac, c’était différent. Certaines petites criques n’étaient ni accessibles depuis les allées du parc, ni vraiment visibles depuis la plupart des autres rives. Et, sur le forum, j’avais relevé qu’une de ces criques était fréquentée par des naturistes très ouverts d’esprit. On pouvait y rencontrer des couples, mais aussi des femmes seules qui venaient se mettre à poil au bord de l’eau pour s’allonger et se faire bronzer aux beaux jours. Tous avaient l’esprit très ouvert et partageur, cela va sans dire. Des groupes se formaient ainsi dans cet endroit, tout naturellement, et les choses se déroulaient à peu près comme sur les parkings, mais il m’arriva de m’y retrouver tout seul, un jour, en pleine semaine.
Les choses se passaient de la façon suivante : en arrivant, il était bien vu de se déshabiller complètement et de se choisir un emplacement pour déplier une serviette de bain et s’allonger. C’est ce que je fis ce jour-là, comme d’autres fois ...
... auparavant, sauf que j’étais seul. Personne en vue dans la crique. Je me suis déshabillé, puis j’ai bouquiné.
Il s’est écoulé un bon petit moment avant que je perçoive du bruit dans le sous-bois qui protégeait la crique des regards. Et là, je fus stupéfait, car non seulement il s’agissait d’une femme seule, mais en plus de ça, je la connaissais. Elle était caissière dans un petit supermarché où j’allais de temps en temps. Je l’avais remarquée, car elle était charmante, bien constituée, la trentaine. Et j’avais son prénom en tête, puisqu’il était inscrit sur le petit badge épinglé à sa tenue de travail. Elle se prénommait Claire.
Elle vint vers moi, sans vraiment sourire. Elle portait une assez longue robe couleur kaki clair et des nu-pieds blancs, tandis que moi j’étais tout nu sur ma serviette, allongé sur le ventre avec mon bouquin, le cul à l’air. A trois mètres de moi, elle s’est arrêtée et m’a dit :
« Bonjour. »
Je lui ai répondu et elle a ajouté :
« On s’est déjà vu, non ? »
J’ai fermé mon bouquin et j’ai répondu :
« Oui. Je passe à votre caisse de temps en temps. »
« C’est bien ce qui me semblait, a-t-elle dit en souriant cette fois-ci. Je peux m’installer près de vous ? »
J’ai bien sûr accepté. Elle a déplié une immense serviette de bain et l’a étendue au ras de la mienne. Ensuite, elle a ôté ses nu-pieds et jeté un regard vers le lac en disant :
« C’est calme aujourd’hui. Il y a trois semaines de ça, je me suis faite importunée par des gamins qui ...