1. Chroniques d'un parc public – partie 1


    Datte: 15/04/2021, Catégories: Première fois Voyeur / Exhib / Nudisme Partouze / Groupe Auteur: pageblanche, Source: xHamster

    ... se baladaient en bateau gonflable. De vrais petits vicieux… »
    
    Puis elle a défait une fermeture dans son dos et sa robe a dévalé son corps pour tomber sur le sol. Dessous, elle ne portait rien. Je ne sais combien de fois je l’avais regardée, tandis qu’elle passait mes articles en caisse, en me disant qu’elle était tout à fait charmante. Je l’avais vu en pantalon sous sa petite blouse, mais aussi en jupe. J’avais eu une idée du volume de ses seins, mais aussi de ses fesses. J’avais remarqué un tatouage à son épaule gauche, qui représentait un papillon, et je m’étais demandé si elle en portait d’autres sur le corps, que seul un veinard avait sans doute l’occasion de voir à certaines occasions. Je m’étais dit tout cela, à mon passage en caisse, et à présent Claire se tenait à poil à un mètre de moi.
    
    Des cheveux châtains, mi-longs et bouclés, qui tiraient sur le blond aux extrémités, la peau assez claire et des seins très fermes au volume moyen. Un petit cul bien rond et une fine toison couleur noisette.
    
    Elle s’est allongée près de moi, sur le ventre également, et je regardais ses tétons toucher sa serviette quand elle m’a dit :
    
    « Vous venez souvent ici ? »
    
    « C’est la cinquième ou sixième fois, et vous ? »
    
    Elle a allumé une cigarette et soufflé sa fumée avant de me répondre :
    
    « Je n’ai pas compté, mais je ne viens que les jeudis, c’est mon seul jour de repos avec le dimanche. Mais le dimanche, il y a trop de monde. »
    
    Je bandais.
    
    J’ai dit :
    
    « Je ne ...
    ... suis jamais venu le dimanche. »
    
    Elle a de nouveau soufflé de la fumée et répondu en souriant :
    
    « J’ai essayé une fois, un week-end où mon conjoint n’était pas là. On était au moins vingt. »
    
    J’ai répondu bêtement :
    
    « Ça fait du monde, en effet. »
    
    Puis elle m’a regardé en disant :
    
    « Jusqu’à dix, ça va. Mais je préfère à quatre ou cinq. Et vous ? »
    
    J’ai réfléchi. Elle se tenait en appui sur ses coudes et j’avais du mal à ne pas regarder ses seins collés à sa serviette. Du mal à me retenir de jeter un regard vers son cul.
    
    J’ai répondu :
    
    « Je n’ai pas vraiment de préférence, mais quatre ou cinq, c’est bien. »
    
    « Ou trois ou quatre, a-t-elle dit avant de tirer sur sa cigarette. »
    
    J’ai hoché la tête en disant :
    
    « Oui, c’est encore mieux. »
    
    Ensuite, elle m’a regardé dans les yeux, l’air très sérieux. Le même air de la petite caissière qu’elle était en temps ordinaire. J’adorais le dessin de sa bouche, mais plus encore ses grands yeux marrons qui brillaient un peu.
    
    Puis, tout aussi sérieusement, elle m’a dit :
    
    « Avez-vous déjà eu envie de me faire des avances en passant à ma caisse ? »
    
    Je me suis raclé la gorge :
    
    « Je ne me serais pas permis. »
    
    Elle a détourné le regard en disant :
    
    « Je me demande combien d’hommes chaque jour se disent des trucs à mon sujet. Il suffit de croiser le regard de certains pour sentir qu’ils ont des choses en tête, mais aucun n’ose jamais les dire. Ce serait tellement amusant de parvenir à lire dans les ...
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