1. Chroniques d'un parc public – partie 1


    Datte: 15/04/2021, Catégories: Première fois Voyeur / Exhib / Nudisme Partouze / Groupe Auteur: pageblanche, Source: xHamster

    ... observer en se masturbant. Et je ne saurais pas dire à quel point je bandais, tout en léchant cet anus. Car je savais qu’ensuite, j’allais être en mesure de pénétrer cette fille. Son cul avait goût de café, mais je pouvais aussi sentir l’arôme de sa chatte au fil des mouvements de ma langue. Je ne pouvais pas m’empêcher de songer qu’il s’agissait d’une étudiante et qu’elle avait sans doute passé des heures à la fac auparavant, le cul posé sur un banc. Elle était asiatique, très mince, très jeune, et j’ai fini par craquer : je me suis relevé pour empoigner ses fesses et faire glisser ma queue dans sa petite moule serrée.
    
    A proximité, j’avais remarqué que le deuxième vieux ne bandait pas beaucoup. Sans doute pas assez pour pénétrer une chatte. Hormis rouler des pelles à cette fille, palper ses tout petits seins et agiter sa queue, il ne fit rien. Je me souviens l’avoir vu éjaculer mollement, un peu plus tard, juste après le premier vieux, sur le carrelage poisseux de cet endroit, tandis que la fille s’apprêtait à recevoir mon propre sperme sur sa langue. Elle me regardait dans les yeux, tout en me branlant. Elle n’avait pas dit un mot depuis que j’étais arrivé. Les deux vieux, pour leur part, s’étaient contentés de petites injures à voix basses.
    
    Elle s’appelait Kim, je l’appris dans les minutes qui suivirent, pendant qu’on fumait une cigarette à l’extérieur du bloc sanitaire. Elle avait 19 ans. Son père était français et sa mère vietnamienne. Elle avait un petit ami qui ...
    ... suivait également des études, mais à 300km de là. Ils se voyaient un week-end sur deux. Elle venait dans ces sanitaires de temps en temps pour « se taper des hommes mûrs », selon ses termes.
    
    Je ne sus jamais quelles étaient les raisons profondes de cette attirance pour les hommes mûrs, mais je ne m’en plaignis pas. En l’espace de deux années, j’ai compté, je me suis tapé cette fille quatorze fois, dont quatre où elle était accompagnée d’une petite blonde un peu rondouillette qui aimait se faire sodomiser.
    
    Entre temps, j’étais revenu sur le premier parking, mais je m’étais aussi aventuré sur le deuxième. Mon épouse commençait à se poser des questions au sujet de mes absences de plus en plus fréquentes, mais le plaisir était plus fort que tout, car le parc offrait mille possibilités.
    
    Je me suis fait sucer je ne sais combien de fois par des vitres passagères, par des femmes d’âges divers, mais j’ai également eu l’occasion d’en pénétrer quelques-unes. Certaines ne quittaient pas leur véhicule : elles présentaient leur cul par la vitre, et les queues se succédaient dans leur chatte. Mais d’autres ouvraient leur portière au bout d’un moment, et il était possible de multiplier les positions.
    
    Je me souviens d’une femme qui s’appelait Anne. Elle avait une petite cinquantaine et possédait une énorme paire de nichons et un gros cul. Je l’ai baisée sur le capot de sa voiture, sous les yeux de plusieurs autres hommes, dont son mari qui la baisait aussi dans ces moments. Je l’ai ...
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