1. Ma belle-soeur sodomisée


    Datte: 09/05/2018, Catégories: fh, extracon, alliance, fsodo, coprolalie, Auteur: Stipelle, Source: Revebebe

    ... élargir son anus. Voilà, je crois qu’elle est fin prête. Alors, je pose mon gland sur son anus et pousse juste ce qu’il faut pour qu’elle ressente un peu la pression. Elle contracte son sphincter, je retire mon gland et recommence un peu plus tard. Nouvelle contraction et nouveau retrait. Petit à petit, je crois qu’elle se détend. Je pousse juste un petit peu plus fort, mon gland est aspiré d’un seul coup par son trou brun. Elle pousse un « oh » de surprise.
    
    — Je suis en toi Brigitte, as-tu mal ?
    
    Elle secoue négativement la tête. Alors je pousse un peu plus fort et m’enfonce encore un peu plus en elle. De nouveau un temps d’arrêt, puis je recommence l’expérience un peu plus tard. Cette fois-ci, ma bite est presque toute entière rentrée dans son cul.
    
    — Je crois que je vais aller aux toilettes, annonce-t-elle subitement. J’ai très envie d’aller aux toilettes.
    — Ne t’inquiète pas, calme-toi, détends-toi, tu vas t’y habituer.
    
    Elle prend son mal en patience.
    
    — Ça va mieux, je lui demande.
    — Oui, ça va.
    — Tu as mal ?
    — Non, ça va.
    
    Je commence à aller et venir lentement entre ses fesses. Elle souffle un peu comme un petit chien fou.
    
    — Oh, j’ai vraiment l’impression que je vais aller aux toilettes, dit-elle à nouveau.
    
    Alors j’arrête un long moment avant de reprendre un peu plus tard. Au fur et à mesure, mes mouvements se font plus amples et plus profonds, plus rapides également.
    
    — Ah la vache… C’est vrai que c’est bon, consent-elle à admettre.
    — Ton ...
    ... cul est vraiment très agréable. Ç’aurait été dommage de ne pas l’essayer. En plus, tu as l’air d’y prendre goût, je me trompe ?
    — Non, c’est bon cette bite en moi, cela me donne plein de sensations inconnues jusqu’alors. Tu me sodomises bien. C’est comme ça que tu encules Virginie ?
    — Non, Virginie, je l’encule plus violemment. Elle aime être bien pistonnée parce qu’elle y a pris goût et qu’elle a l’habitude.
    — J’aimerais que tu fasses avec moi comme tu fais avec elle. Tant pis si j’ai mal, je serrerai les dents.
    
    La tenant par les hanches, j’amplifie peu à peu mes coups de queue et lui défonce l’anus.
    
    — Aaahhhhhh
    
    J’ignore si c’est un cri de douleur ou de jouissance, alors j’arrête. Mais elle me rassure :
    
    — Continue, encule-moi bien à fond.
    
    Cette fois-ci, je me déchaîne. Elle crie encore plusieurs fois de plaisir ou de souffrance. Je finis par me vider dans ses intestins.
    
    Nous restons un bon moment affalés sur le divan, emboîtés l’un dans l’autre…
    
    — À la vache… Qu’est ce que c’est bon… de se faire remplir le cul comme ça…
    
    Puis, un petit peu après :
    
    — Attends, vite, laisse-moi, pousse-toi, j’ai très envie de faire caca.
    
    Elle se libère et court comme une cinglée aux toilettes. Elle n’a même pas le temps de refermer la porte que déjà elle se vide dans la cuvette. Elle revient, un peu déconfite. J’éclate de rire, peu charitable :
    
    — Oh tu sais c’est déjà arrivé à Virginie, des choses comme ça, ce n’est vraiment pas bien grave.
    — Mais quelle honte ...